Colère des fonctionnaires : la CFDT n’appelle pas à la grève pour le moment, mais n’exclut pas cette possibilité

La CFDT, syndicat présent dans la fonction publique, ne prévoit pas de grève pour le moment. Cependant, la secrétaire générale, Marylise Léon, souligne que rien n’est exclu, car la colère des fonctionnaires est grande.

La situation est tendue dans la fonction publique, avec des revendications importantes de la part des agents. La CFDT reste à l’écoute des doléances des fonctionnaires et se tient prête à agir si nécessaire. Marylise Léon insiste sur le fait que la mobilisation peut s’intensifier si les demandes des agents ne sont pas entendues.

Pour le syndicat, il est primordial de défendre les intérêts des fonctionnaires et de faire entendre leur voix. La CFDT est prête à prendre des mesures fortes si la situation l’exige, même si pour le moment, la grève n’est pas à l’ordre du jour.

En conclusion, la CFDT reste vigilante face à la colère des fonctionnaires et n’exclut pas la possibilité de recourir à la grève si les revendications ne sont pas prises en compte.

Fonction publique : "Pour le moment", la CFDT n'appelle pas à la grève
          Mais "rien n'est exclu", souligne Marylise Léon, car la colère des fonctionnaires est grande.

Marylise Léon souligne que tout est possible, car la colère des fonctionnaires est extrêmement forte.

La CFDT ne lance pas d’appel à la grève dans la fonction publique

Selon Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT, le syndicat n’appelle pas à la grève dans la fonction publique pour le moment. Cette décision intervient alors que les syndicats FO et CGT ont lancé un appel à la mobilisation après une réunion avec le ministre de la Fonction publique concernant les mesures d’économies du gouvernement. Marylise Léon précise cependant que rien n’est exclu à ce stade et que tout est sur la table.

Elle affirme que la CFDT est prête à utiliser tous les moyens à sa disposition, tels que la mobilisation, le rassemblement et la grève, mais préfère attendre une réunion de l’Intersyndicale pour décider des prochaines actions. Elle souligne également l’importance d’un deuxième rendez-vous avec le ministre Guillaume Kasbarian pour discuter de nombreux sujets en suspens.

Un premier round de discussion « important »

Marylise Léon estime que le premier échange avec le ministre était crucial face à la colère des agents de la fonction publique. Elle insiste sur l’impact des déclarations du ministre dans la presse sur les agents, notamment en ce qui concerne les jours de carence et le pouvoir d’achat. Malgré des points de désaccord, la secrétaire générale relève des signaux positifs, comme l’abandon de la suppression des catégories A, B et C et la volonté de négocier sur les conditions de travail. Cependant, elle déplore que la question salariale reste en suspens.

Enfin, Marylise Léon souligne l’importance de la transparence concernant les aides publiques attribuées, mettant en avant l’importance de savoir à quoi sert l’argent public pour la démocratie.

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