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Fonction publique : "Pour le moment", la CFDT n'appelle pas à la grève
          Mais "rien n'est exclu", souligne Marylise Léon, car la colère des fonctionnaires est grande.

Colère des fonctionnaires : la CFDT n’appelle pas à la grève pour le moment, mais n’exclut pas cette possibilité

La CFDT, syndicat présent dans la fonction publique, ne prévoit pas de grève pour le moment. Cependant, la secrétaire générale, Marylise Léon, souligne que rien n’est exclu, car la colère des fonctionnaires est grande.

La situation est tendue dans la fonction publique, avec des revendications importantes de la part des agents. La CFDT reste à l’écoute des doléances des fonctionnaires et se tient prête à agir si nécessaire. Marylise Léon insiste sur le fait que la mobilisation peut s’intensifier si les demandes des agents ne sont pas entendues.

Pour le syndicat, il est primordial de défendre les intérêts des fonctionnaires et de faire entendre leur voix. La CFDT est prête à prendre des mesures fortes si la situation l’exige, même si pour le moment, la grève n’est pas à l’ordre du jour.

En conclusion, la CFDT reste vigilante face à la colère des fonctionnaires et n’exclut pas la possibilité de recourir à la grève si les revendications ne sont pas prises en compte.

Marylise Léon souligne que tout est possible, car la colère des fonctionnaires est extrêmement forte. La CFDT ne lance pas

Éric Fassin sur l'élection de Donald Trump, l'hommage à Madeleine Riffaud, Jacques Tardi pour le dernier tome de "Nestor Burma", et "The Substance" au cinéma
          Dans Tout Public du jeudi 7 novembre 2024, le sociologue Éric Fassin décortique la victoire de Trump et la défaite du parti démocrate, Jean-David Morvan rend hommage à la résistante Madeleine Riffaud, Jacques Tardi parle de "Nestor Bura - Du Rififi à Ménilmontant", et Coralie Fargeat de "The Substance".

Éric Fassin analyse l’élection de Trump, hommage à Madeleine Riffaud, Jacques Tardi et « Nestor Burma », Coralie Fargeat et « The Substance »

Dans l’émission Tout Public du jeudi 7 novembre 2024, le sociologue Éric Fassin revient sur la victoire de Donald Trump et la défaite du parti démocrate lors de l’élection présidentielle. Il décortique les raisons qui ont mené à ce résultat inattendu et les conséquences que cela pourrait avoir sur la politique américaine et internationale.

Jean-David Morvan profite de l’occasion pour rendre hommage à la résistante Madeleine Riffaud, figure emblématique de la lutte contre l’occupation nazie en France. Il souligne l’importance de se souvenir de ces héros et héroïnes qui ont sacrifié leur vie pour la liberté et la justice.

Jacques Tardi, quant à lui, évoque son dernier tome de « Nestor Burma » intitulé « Du Rififi à Ménilmontant ». L’auteur de bande dessinée revient sur la genèse de cette œuvre et les enjeux qu’elle soulève, mêlant habilement suspense, humour et critique sociale.

Enfin, Coralie Fargeat présente son film « The Substance » qui suscite déjà beaucoup d’attentes. Ce thriller psychologique promet de plonger les spectateurs dans une ambiance sombre et angoissante, explorant les méandres de l’esprit humain et les secrets qui le hantent.

A travers ces différents sujets, l’émission met en lumière des artistes et intellectuels engagés qui interrogent le monde qui les entoure et invitent le public à la réflexion.

Le sociologue Éric Fassin analyse en détail la victoire de Trump et la défaite du parti démocrate dans l’émission Tout

La liberté de création est "de plus en plus" remise en cause, selon une commission du Sénat
          Les artistes ont très peu recours au dispositif légal mis en place pour garantir leur liberté d'expression.

Liberté créative menacée : les artistes peu enclins à utiliser les dispositifs légaux

Une commission du Sénat met en lumière la remise en question croissante de la liberté de création dans le milieu artistique. Les artistes, pourtant protégés par des dispositifs légaux, semblent peu enclins à les utiliser pour garantir leur liberté d’expression.

La liberté de création est un pilier essentiel de la démocratie, permettant aux artistes d’exprimer leur vision du monde, de questionner la société et de susciter le débat. Cependant, cette liberté est de plus en plus remise en cause, notamment par des pressions politiques, économiques ou sociales.

Malgré l’existence de dispositifs légaux visant à protéger la liberté d’expression des artistes, ces derniers semblent peu enclins à les utiliser. Selon la commission du Sénat, seule une minorité d’artistes a recours à ces outils juridiques pour faire valoir leurs droits.

Cette réticence des artistes à se saisir des dispositifs légaux peut s’expliquer par plusieurs facteurs. Certains artistes craignent des représailles de la part des autorités ou des milieux conservateurs. D’autres estiment que ces procédures sont longues, complexes et coûteuses, les dissuadant ainsi de les utiliser.

Pourtant, il est essentiel que les artistes se saisissent de ces outils juridiques pour défendre leur liberté de création. En effet, en faisant valoir leurs droits, les artistes contribuent à renforcer la démocratie et à préserver la diversité des expressions artistiques.

Face à la remise en question croissante de la liberté de création, il est donc nécessaire de sensibiliser les artistes sur l’importance d’utiliser les dispositifs légaux à leur disposition. Il revient également aux pouvoirs publics et aux institutions culturelles de soutenir et de protéger la liberté d’expression des artistes, en garantissant un environnement favorable à la création artistique.

Il est observé que les artistes ont tendance à éviter d’utiliser le dispositif légal destiné à protéger leur liberté d’expression.

"C'est l'effondrement de plusieurs vies" : à Marseille, le procès de la rue d'Aubagne s'ouvre six ans après le drame
          Le 5 novembre 2018, huit personnes sont mortes après les effondrements de deux immeubles situés rue d'Aubagne, dans le centre de Marseille.

Procès tragique de la rue d’Aubagne à Marseille : six ans après, la justice se penche sur l’effondrement qui a coûté la vie à huit personnes en 2018. Le drame a marqué le début d’une longue enquête pour déterminer les responsabilités et rendre justice aux victimes et à leurs familles. L’effondrement de ces immeubles a non seulement causé la perte de vies humaines, mais a également laissé de nombreuses personnes sans abri, bouleversant ainsi plusieurs existences. Aujourd’hui, le procès s’ouvre enfin, mettant en lumière les failles du système et les négligences qui ont conduit à cette tragédie. Les habitants de la rue d’Aubagne se souviennent encore de cette nuit cauchemardesque, où des vies ont été brisées et des familles déchirées. La recherche de vérité et de justice est au cœur de ce procès, dans l’espoir que de telles tragédies ne se reproduisent plus à l’avenir.

Le 5 novembre 2018, une tragédie a frappé la ville de Marseille, alors que huit individus ont perdu la vie

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