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Fonction publique : "Pour le moment", la CFDT n'appelle pas à la grève
          Mais "rien n'est exclu", souligne Marylise Léon, car la colère des fonctionnaires est grande.

Colère des fonctionnaires : la CFDT n’appelle pas à la grève pour le moment, mais n’exclut pas cette possibilité

La CFDT, syndicat présent dans la fonction publique, ne prévoit pas de grève pour le moment. Cependant, la secrétaire générale, Marylise Léon, souligne que rien n’est exclu, car la colère des fonctionnaires est grande.

La situation est tendue dans la fonction publique, avec des revendications importantes de la part des agents. La CFDT reste à l’écoute des doléances des fonctionnaires et se tient prête à agir si nécessaire. Marylise Léon insiste sur le fait que la mobilisation peut s’intensifier si les demandes des agents ne sont pas entendues.

Pour le syndicat, il est primordial de défendre les intérêts des fonctionnaires et de faire entendre leur voix. La CFDT est prête à prendre des mesures fortes si la situation l’exige, même si pour le moment, la grève n’est pas à l’ordre du jour.

En conclusion, la CFDT reste vigilante face à la colère des fonctionnaires et n’exclut pas la possibilité de recourir à la grève si les revendications ne sont pas prises en compte.

Marylise Léon souligne que tout est possible, car la colère des fonctionnaires est extrêmement forte. La CFDT ne lance pas

"Anora" de Sean Baker et "Juré n°2" de Clint Eastwood à l’affiche cette semaine, et Marc Trévidic pour son polar "Huitième section"
          Dans Tout Public du mardi 29 octobre 2024, les deux sorties incontournables du cinéma américain de la semaine, "Anora" de Sean Baker et "Juré n°2" de Clint Eastwood, et Marc Trédividic pour "Huitième section".

Les sorties cinéma de la semaine : « Anora » et « Juré n°2 » en vedette, avec Marc Trévidic pour « Huitième section »

Le mardi 29 octobre 2024, les cinéphiles pourront découvrir deux films incontournables du cinéma américain : « Anora » réalisé par Sean Baker et « Juré n°2 » dirigé par Clint Eastwood. Ces deux longs-métrages promettent de captiver le public avec des histoires riches en émotions et en rebondissements.

D’un côté, « Anora » nous plonge dans l’univers singulier de Sean Baker, qui nous offre une œuvre à la fois poignante et bouleversante. Le réalisateur parvient à nous immerger dans l’intimité de ses personnages, nous faisant ressentir toute la palette des émotions humaines. Avec une mise en scène soignée et des dialogues percutants, « Anora » s’impose comme un incontournable de cette semaine.

De l’autre côté, « Juré n°2 » de Clint Eastwood nous transporte dans un thriller judiciaire haletant, où la tension est palpable à chaque instant. Le réalisateur nous livre un récit captivant, avec des personnages complexes et une intrigue qui tient en haleine du début à la fin. Avec son sens du suspense et sa maîtrise de la mise en scène, Clint Eastwood confirme une fois de plus son talent incontestable.

En parallèle, Marc Trévidic nous propose son polar « Huitième section », un ouvrage qui promet de nous plonger au cœur d’une enquête palpitante. L’auteur, connu pour son expertise dans le domaine judiciaire, nous offre un récit riche en détails et en rebondissements. Avec « Huitième section », Marc Trévidic nous invite à suivre une enquête complexe où rien n’est jamais ce qu’il semble être.

En somme, cette semaine cinématographique s’annonce riche en émotions et en découvertes, avec des films et des ouvrages qui sauront ravir les amateurs de belles histoires et de suspens. « Anora », « Juré n°2 » et « Huitième section » promettent de marquer les esprits et de nous offrir des moments de divertissement inoubliables.

Le mardi 29 octobre 2024, l’émission Tout Public mettait en lumière deux films majeurs de la semaine dans le paysage

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    Enquête



  

    
      
    
      

  

  
    L'incroyable dérive d'Aurélie B., l'ancienne trésorière de Kiabi soupçonnée d'avoir détourné 100 millions d'euros
          Avant cette dernière affaire, le passé d’Aurélie B., devenue jet-setteuse à Miami, est jalonné d’escroqueries de plus en plus sophistiquées.

Détournement de fonds : l’ancienne trésorière de Kiabi suspectée d’avoir volé 100 millions d’euros

Aurélie B., ancienne trésorière de Kiabi, est actuellement au cœur d’une affaire de détournement de fonds. Elle est soupçonnée d’avoir volé la somme astronomique de 100 millions d’euros. Mais cette affaire n’est pas la première pour cette jeune femme. En effet, son passé est marqué par une série d’escroqueries de plus en plus sophistiquées.

Depuis quelques années, Aurélie B. mène une vie de luxe à Miami, entourée de stars et de célébrités. Mais derrière cette façade de jet-setteuse se cache un sombre passé. En effet, la jeune femme a été impliquée dans plusieurs affaires d’escroquerie avant de devenir trésorière de Kiabi.

Les enquêteurs ont découvert que Aurélie B. avait mis en place un système sophistiqué pour détourner les fonds de l’entreprise. Grâce à des complicités internes, elle aurait réussi à voler des millions d’euros sans éveiller les soupçons. Mais la justice est désormais sur ses traces et elle risque de devoir rendre des comptes pour ses actes.

Cette affaire de détournement de fonds met en lumière les failles du système de contrôle interne de Kiabi. Les autorités tentent désormais de comprendre comment une telle fraude a pu être mise en place pendant aussi longtemps sans être détectée. Aurélie B. risque une lourde peine de prison si elle est reconnue coupable de ces actes répréhensibles.

Avant cette récente affaire, Aurélie B., qui s’est installée dans le milieu de la jet-set à Miami, a été impliquée

Nutri-Score, le gouvernement joue la montre
          Le Nutri-Score. Vous le connaissez forcément : il n'est pas obligatoire mais apposé sur de nombreux produits alimentaires en supermarché : calories, teneur en sucre, en graisses, en sel. De nouvelles règles devaient entrer en vigueur le 1er janvier 2024. C’est déjà le cas chez nombre de nos voisins, mais pas en France. Certains de nos ministres auraient-ils un problème avec le Nutri-Score ?

Le gouvernement retarde l’implémentation du Nutri-Score

Le Nutri-Score, un indicateur bien connu du public, est présent sur de nombreux produits alimentaires dans les supermarchés. Il fournit des informations importantes sur les calories, le sucre, les graisses et le sel contenus dans ces produits. Alors que de nombreux pays voisins ont déjà mis en place de nouvelles règles pour son utilisation, la France semble traîner des pieds.

Prévu initialement pour entrer en vigueur le 1er janvier 2024, le déploiement du Nutri-Score en France semble être retardé. Cette situation soulève des questions sur les motivations du gouvernement et de certains ministres concernant cet indicateur. Pourquoi tant de tergiversations autour d’un outil visant à informer les consommateurs sur la qualité nutritionnelle des aliments ?

Il est important de rappeler que le Nutri-Score n’est pas obligatoire, mais il constitue un moyen efficace pour aider les consommateurs à faire des choix alimentaires plus sains. En retardant son déploiement, le gouvernement pourrait sembler aller à l’encontre des intérêts de la santé publique et de la lutte contre l’obésité.

Il est donc essentiel que le gouvernement français prenne des mesures concrètes pour mettre en place le Nutri-Score dans les plus brefs délais. Les consommateurs ont le droit de savoir ce qu’ils mangent et de faire des choix éclairés pour leur santé. Il est grand temps d’agir et de ne plus jouer la montre sur cette question cruciale de santé publique.

Le Nutri-Score est un système d’étiquetage nutritionnel que l’on retrouve sur de nombreux produits alimentaires dans les supermarchés. Il donne

Reportage



  

    
      
    
      

  

  
    "Plus on les coupe tôt de l'objet, mieux c'est" : près de Lyon, des élèves de sixième expérimentent l'interdiction du téléphone portable
          Le principal du collège Marcel-Pagnol, à Oullins-Pierre-Bénite, espère limiter l'exposition aux écrans et lutter contre le cyberharcèlement. Conscient que la mesure ne réglera pas tout, il estime aussi que l'interdiction devra être amenée en douceur.

Les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon ont récemment été soumis à une nouvelle règle : l’interdiction d’utiliser leur téléphone portable en classe. Le principal de l’établissement, situé à Oullins-Pierre-Bénite, met en avant les dangers de l’exposition excessive aux écrans et du cyberharcèlement pour justifier cette mesure. Il est conscient que cette interdiction ne résoudra pas tous les problèmes liés à l’usage des smartphones par les jeunes, mais il estime qu’il est important de commencer à sensibiliser les élèves dès le plus jeune âge.

L’objectif de cette initiative est de limiter l’utilisation des téléphones portables pendant les heures de classe afin de favoriser la concentration des élèves et de prévenir les risques liés à une utilisation excessive des écrans. Le principal du collège Marcel-Pagnol insiste sur le fait qu’il est essentiel d’éduquer les jeunes à un usage responsable des nouvelles technologies et à limiter leur dépendance aux smartphones.

Pour mettre en place cette interdiction, le collège prévoit d’accompagner les élèves progressivement en expliquant les raisons de cette mesure et en leur proposant des alternatives pour rester connectés en dehors des cours. Le but n’est pas de priver les élèves de leur téléphone portable, mais de les sensibiliser aux dangers d’une utilisation excessive et inadaptée de cet outil.

Cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large de prévention du cyberharcèlement et de promotion d’un usage responsable des écrans. Le collège Marcel-Pagnol souhaite ainsi contribuer à la sensibilisation des élèves et de leurs parents aux risques liés à l’utilisation des nouvelles technologies.

En conclusion, l’interdiction du téléphone portable en classe pour les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon vise à limiter l’exposition des jeunes aux écrans et à prévenir le cyberharcèlement. Cette mesure s’inscrit dans une démarche de sensibilisation et d’éducation des élèves à un usage responsable des nouvelles technologies.

Le directeur de l’établissement scolaire Marcel-Pagnol de Oullins-Pierre-Bénite souhaite prendre des mesures pour réduire l’utilisation des écrans et combattre le

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