fait

Chantier de l'A69 : deux opposants hospitalisés après être tombés d'un arbre lors d'une opération d'évacuation de la gendarmerie
          Selon les manifestants, les deux "écureuils" ont fait une chute "de plus de 7 mètres" de haut.

Deux opposants blessés lors d’une opération d’évacuation sur le chantier de l’A69

Deux opposants se retrouvent à l’hôpital après être tombés d’un arbre lors d’une opération d’évacuation menée par la gendarmerie sur le chantier de l’A69. Selon les manifestants présents sur place, les deux individus, surnommés les « écureuils », auraient chuté de plus de 7 mètres de hauteur.

La situation a rapidement dégénéré sur le chantier de l’A69, où des militants protestaient contre la construction de cette autoroute. La gendarmerie a dû intervenir pour évacuer les opposants qui occupaient les lieux de manière illégale. C’est lors de cette opération que les deux individus ont chuté de l’arbre.

Les secours ont été immédiatement appelés sur les lieux et les deux blessés ont été transportés à l’hôpital pour y recevoir les soins nécessaires. Leur état de santé reste préoccupant, mais aucune information supplémentaire n’a été communiquée pour le moment.

Les manifestants sur place dénoncent une intervention musclée de la part des forces de l’ordre, mettant en cause la violence de l’évacuation. Des témoins affirment que les gendarmes ont fait preuve d’une grande brutalité lors de l’intervention, ce qui aurait entraîné la chute des deux opposants.

L’association de défense de l’environnement qui lutte contre la construction de l’A69 a immédiatement réagi à cet incident, dénonçant une répression excessive de la part des autorités. Elle appelle à une enquête approfondie pour faire toute la lumière sur les circonstances de cet accident et sur la responsabilité des forces de l’ordre dans cette affaire.

D’après les protestataires, les deux individus surnommés « écureuils » ont chuté d’une hauteur dépassant les 7 mètres. Deux opposants au chantier […]

Deux opposants blessés lors d’une opération d’évacuation sur le chantier de l’A69

Deux opposants se retrouvent à l’hôpital après être tombés d’un arbre lors d’une opération d’évacuation menée par la gendarmerie sur le chantier de l’A69. Selon les manifestants présents sur place, les deux individus, surnommés les « écureuils », auraient chuté de plus de 7 mètres de hauteur.

La situation a rapidement dégénéré sur le chantier de l’A69, où des militants protestaient contre la construction de cette autoroute. La gendarmerie a dû intervenir pour évacuer les opposants qui occupaient les lieux de manière illégale. C’est lors de cette opération que les deux individus ont chuté de l’arbre.

Les secours ont été immédiatement appelés sur les lieux et les deux blessés ont été transportés à l’hôpital pour y recevoir les soins nécessaires. Leur état de santé reste préoccupant, mais aucune information supplémentaire n’a été communiquée pour le moment.

Les manifestants sur place dénoncent une intervention musclée de la part des forces de l’ordre, mettant en cause la violence de l’évacuation. Des témoins affirment que les gendarmes ont fait preuve d’une grande brutalité lors de l’intervention, ce qui aurait entraîné la chute des deux opposants.

L’association de défense de l’environnement qui lutte contre la construction de l’A69 a immédiatement réagi à cet incident, dénonçant une répression excessive de la part des autorités. Elle appelle à une enquête approfondie pour faire toute la lumière sur les circonstances de cet accident et sur la responsabilité des forces de l’ordre dans cette affaire.
Lire la suite »

Reportage



  

    
      
    
      

  

  
    "Plus on les coupe tôt de l'objet, mieux c'est" : près de Lyon, des élèves de sixième expérimentent l'interdiction du téléphone portable
          Le principal du collège Marcel-Pagnol, à Oullins-Pierre-Bénite, espère limiter l'exposition aux écrans et lutter contre le cyberharcèlement. Conscient que la mesure ne réglera pas tout, il estime aussi que l'interdiction devra être amenée en douceur.

Les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon ont récemment été soumis à une nouvelle règle : l’interdiction d’utiliser leur téléphone portable en classe. Le principal de l’établissement, situé à Oullins-Pierre-Bénite, met en avant les dangers de l’exposition excessive aux écrans et du cyberharcèlement pour justifier cette mesure. Il est conscient que cette interdiction ne résoudra pas tous les problèmes liés à l’usage des smartphones par les jeunes, mais il estime qu’il est important de commencer à sensibiliser les élèves dès le plus jeune âge.

L’objectif de cette initiative est de limiter l’utilisation des téléphones portables pendant les heures de classe afin de favoriser la concentration des élèves et de prévenir les risques liés à une utilisation excessive des écrans. Le principal du collège Marcel-Pagnol insiste sur le fait qu’il est essentiel d’éduquer les jeunes à un usage responsable des nouvelles technologies et à limiter leur dépendance aux smartphones.

Pour mettre en place cette interdiction, le collège prévoit d’accompagner les élèves progressivement en expliquant les raisons de cette mesure et en leur proposant des alternatives pour rester connectés en dehors des cours. Le but n’est pas de priver les élèves de leur téléphone portable, mais de les sensibiliser aux dangers d’une utilisation excessive et inadaptée de cet outil.

Cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large de prévention du cyberharcèlement et de promotion d’un usage responsable des écrans. Le collège Marcel-Pagnol souhaite ainsi contribuer à la sensibilisation des élèves et de leurs parents aux risques liés à l’utilisation des nouvelles technologies.

En conclusion, l’interdiction du téléphone portable en classe pour les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon vise à limiter l’exposition des jeunes aux écrans et à prévenir le cyberharcèlement. Cette mesure s’inscrit dans une démarche de sensibilisation et d’éducation des élèves à un usage responsable des nouvelles technologies.

Le directeur de l’établissement scolaire Marcel-Pagnol de Oullins-Pierre-Bénite souhaite prendre des mesures pour réduire l’utilisation des écrans et combattre le

Les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon ont récemment été soumis à une nouvelle règle : l’interdiction d’utiliser leur téléphone portable en classe. Le principal de l’établissement, situé à Oullins-Pierre-Bénite, met en avant les dangers de l’exposition excessive aux écrans et du cyberharcèlement pour justifier cette mesure. Il est conscient que cette interdiction ne résoudra pas tous les problèmes liés à l’usage des smartphones par les jeunes, mais il estime qu’il est important de commencer à sensibiliser les élèves dès le plus jeune âge.

L’objectif de cette initiative est de limiter l’utilisation des téléphones portables pendant les heures de classe afin de favoriser la concentration des élèves et de prévenir les risques liés à une utilisation excessive des écrans. Le principal du collège Marcel-Pagnol insiste sur le fait qu’il est essentiel d’éduquer les jeunes à un usage responsable des nouvelles technologies et à limiter leur dépendance aux smartphones.

Pour mettre en place cette interdiction, le collège prévoit d’accompagner les élèves progressivement en expliquant les raisons de cette mesure et en leur proposant des alternatives pour rester connectés en dehors des cours. Le but n’est pas de priver les élèves de leur téléphone portable, mais de les sensibiliser aux dangers d’une utilisation excessive et inadaptée de cet outil.

Cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large de prévention du cyberharcèlement et de promotion d’un usage responsable des écrans. Le collège Marcel-Pagnol souhaite ainsi contribuer à la sensibilisation des élèves et de leurs parents aux risques liés à l’utilisation des nouvelles technologies.

En conclusion, l’interdiction du téléphone portable en classe pour les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon vise à limiter l’exposition des jeunes aux écrans et à prévenir le cyberharcèlement. Cette mesure s’inscrit dans une démarche de sensibilisation et d’éducation des élèves à un usage responsable des nouvelles technologies.
Lire la suite »

"Honteux", "Comme si la RATP devenait sponsor de l'OM"... Colère à Marseille après le partenariat entre le PSG et Pernod Ricard
          Le PSG a annoncé son partenariat avec le groupe Pernod Ricard, propriétaire de la célèbre marque de boisson alcoolisé anisée, fabriquée à Marseille. De quoi révolter les supporters de l'OM, qui appelle à un boycott de la marque.

Colère à Marseille : partenariat PSG-Pernod Ricard suscite l’indignation des supporters de l’OM

Les supporters de l’Olympique de Marseille sont furieux après l’annonce du partenariat entre le Paris Saint-Germain et le groupe Pernod Ricard, propriétaire de la célèbre marque de boisson alcoolisée anisée fabriquée à Marseille. Pour les fans de l’OM, cette association est vue comme une trahison et une provocation. Certains appellent même au boycott de la marque en signe de protestation.

Cette collaboration entre le PSG et Pernod Ricard a été perçue comme une véritable offense par les supporters marseillais. En effet, la boisson anisée en question est fortement associée à la ville de Marseille et à son club de football emblématique. Le fait que le rival parisien s’associe à cette marque est vécu comme une provocation supplémentaire dans une rivalité déjà intense entre les deux clubs.

Les réactions des supporters de l’OM ne se sont pas fait attendre. Sur les réseaux sociaux, de nombreux messages de colère et de déception ont été partagés, appelant à un boycott de la marque Pernod Ricard. Certains fans ont exprimé leur sentiment de trahison, estimant que ce partenariat était une insulte à l’histoire et à l’identité de l’Olympique de Marseille.

Face à cette vague d’indignation, le PSG et Pernod Ricard ont tenté de calmer le jeu en soulignant les aspects positifs de ce partenariat. Ils ont mis en avant les retombées économiques et médiatiques pour les deux parties, mais cela n’a pas suffi à apaiser la colère des supporters marseillais.

Pour ces derniers, cette association entre le PSG et Pernod Ricard restera comme un affront inacceptable. Ils continuent de manifester leur mécontentement et appellent au boycott de la marque, symbolisant ainsi leur attachement indéfectible à l’OM et à ses valeurs.

Le Paris Saint-Germain a récemment officialisé sa collaboration avec le groupe Pernod Ricard, qui détient la fameuse marque de boisson

Colère à Marseille : partenariat PSG-Pernod Ricard suscite l’indignation des supporters de l’OM

Les supporters de l’Olympique de Marseille sont furieux après l’annonce du partenariat entre le Paris Saint-Germain et le groupe Pernod Ricard, propriétaire de la célèbre marque de boisson alcoolisée anisée fabriquée à Marseille. Pour les fans de l’OM, cette association est vue comme une trahison et une provocation. Certains appellent même au boycott de la marque en signe de protestation.

Cette collaboration entre le PSG et Pernod Ricard a été perçue comme une véritable offense par les supporters marseillais. En effet, la boisson anisée en question est fortement associée à la ville de Marseille et à son club de football emblématique. Le fait que le rival parisien s’associe à cette marque est vécu comme une provocation supplémentaire dans une rivalité déjà intense entre les deux clubs.

Les réactions des supporters de l’OM ne se sont pas fait attendre. Sur les réseaux sociaux, de nombreux messages de colère et de déception ont été partagés, appelant à un boycott de la marque Pernod Ricard. Certains fans ont exprimé leur sentiment de trahison, estimant que ce partenariat était une insulte à l’histoire et à l’identité de l’Olympique de Marseille.

Face à cette vague d’indignation, le PSG et Pernod Ricard ont tenté de calmer le jeu en soulignant les aspects positifs de ce partenariat. Ils ont mis en avant les retombées économiques et médiatiques pour les deux parties, mais cela n’a pas suffi à apaiser la colère des supporters marseillais.

Pour ces derniers, cette association entre le PSG et Pernod Ricard restera comme un affront inacceptable. Ils continuent de manifester leur mécontentement et appellent au boycott de la marque, symbolisant ainsi leur attachement indéfectible à l’OM et à ses valeurs.
Lire la suite »

À Perpignan, l'exposition "La tragédie de Gaza" du photographe Loay Ayyoub déclenche une polémique à Visa pour l'Image
          La 36e édition de Visa pour l'Image, inaugurée avec l'exposition "La tragédie de Gaza", a débuté d'emblée par une controverse. Le Maire RN de Perpignan Louis Alliot a refusé de remettre le Prix de la ville au photoreporter gazaoui Loay Ayyoub. Le Festival du photojournalisme se poursuit jusqu'au 15 septembre.

Polémique autour de l’exposition « La tragédie de Gaza » à Visa pour l’Image
La nouvelle édition de Visa pour l’Image a débuté avec une exposition qui a suscité la polémique. Le Maire RN de Perpignan, Louis Alliot, a décidé de ne pas remettre le Prix de la ville à Loay Ayyoub, le photographe gazaoui derrière l’exposition controversée. Malgré cette controverse, le Festival du photojournalisme se poursuit jusqu’au 15 septembre.
Cette année, l’exposition « La tragédie de Gaza » de Loay Ayyoub a fait couler beaucoup d’encre. Les photos du photoreporter gazaoui ont suscité des réactions mitigées, certaines personnes saluant le travail de l’artiste tandis que d’autres critiquaient le choix de mettre en avant ce sujet sensible.
La décision du Maire de Perpignan a soulevé des questions sur la liberté d’expression et le rôle des politiques dans la censure artistique. Certains ont accusé Louis Alliot d’interférer dans le déroulement du Festival en refusant de remettre le Prix de la ville au photographe.
Malgré cette controverse, Visa pour l’Image continue de proposer une programmation riche et diversifiée. Les visiteurs pourront découvrir de nombreuses expositions de qualité et assister à des rencontres avec des professionnels du secteur. Le Festival se poursuit jusqu’au 15 septembre, offrant ainsi aux passionnés de photojournalisme l’occasion de découvrir le travail de talents émergents et confirmés.

La 36e édition de Visa pour l’Image a débuté avec une exposition intitulée « La tragédie de Gaza », suscitant immédiatement une

Polémique autour de l’exposition « La tragédie de Gaza » à Visa pour l’Image
La nouvelle édition de Visa pour l’Image a débuté avec une exposition qui a suscité la polémique. Le Maire RN de Perpignan, Louis Alliot, a décidé de ne pas remettre le Prix de la ville à Loay Ayyoub, le photographe gazaoui derrière l’exposition controversée. Malgré cette controverse, le Festival du photojournalisme se poursuit jusqu’au 15 septembre.
Cette année, l’exposition « La tragédie de Gaza » de Loay Ayyoub a fait couler beaucoup d’encre. Les photos du photoreporter gazaoui ont suscité des réactions mitigées, certaines personnes saluant le travail de l’artiste tandis que d’autres critiquaient le choix de mettre en avant ce sujet sensible.
La décision du Maire de Perpignan a soulevé des questions sur la liberté d’expression et le rôle des politiques dans la censure artistique. Certains ont accusé Louis Alliot d’interférer dans le déroulement du Festival en refusant de remettre le Prix de la ville au photographe.
Malgré cette controverse, Visa pour l’Image continue de proposer une programmation riche et diversifiée. Les visiteurs pourront découvrir de nombreuses expositions de qualité et assister à des rencontres avec des professionnels du secteur. Le Festival se poursuit jusqu’au 15 septembre, offrant ainsi aux passionnés de photojournalisme l’occasion de découvrir le travail de talents émergents et confirmés.
Lire la suite »

Avec une ministre démissionnaire à sa tête, pourquoi l'Education nationale fait sa rentrée des classes dans "une atmosphère étrange"
          Pour la première fois sous la Ve République, le retour sur les bancs de l'école aura lieu sans ministre de plein exercice. Une situation inédite qui s'empile avec l'instabilité ministérielle des derniers mois.

Rentrée des classes dans l’Education nationale : une atmosphère étrange avec une ministre démissionnaire
La rentrée scolaire s’annonce particulièrement singulière cette année dans l’Education nationale. En effet, pour la première fois sous la Ve République, les élèves feront leur retour sur les bancs de l’école sans qu’un ministre de plein exercice ne soit en charge du portefeuille de l’Education. Cette situation inédite s’ajoute à une période d’instabilité ministérielle qui a marqué les derniers mois.

La démission de la ministre de l’Education nationale a laissé un vide au sein du gouvernement, et a jeté un voile d’incertitude sur la rentrée des classes. Les enseignants, les élèves et les parents d’élèves se retrouvent donc dans une atmosphère étrange, marquée par l’absence d’un leader clairement identifié à la tête du ministère.

Cette situation soulève de nombreuses questions quant à l’organisation de cette rentrée des classes. Comment les mesures sanitaires seront-elles mises en place dans les établissements scolaires ? Quelles orientations pédagogiques seront privilégiées cette année ? Autant de questions qui restent en suspens alors que l’Education nationale fait face à un contexte exceptionnel.

Malgré ces incertitudes, les acteurs de l’Education nationale restent mobilisés pour assurer le bon déroulement de cette rentrée atypique. Les enseignants, les personnels éducatifs et les chefs d’établissement mettent tout en œuvre pour accueillir les élèves dans les meilleures conditions possibles, malgré les difficultés rencontrées.

En somme, cette rentrée des classes s’annonce comme un défi à relever pour l’Education nationale. Dans un contexte marqué par l’absence d’une ministre en exercice, les acteurs de l’éducation devront redoubler d’efforts pour garantir la réussite de cette rentrée scolaire si particulière.

C’est une situation sans précédent qui se profile pour la rentrée scolaire à venir sous le gouvernement de la Ve

Rentrée des classes dans l’Education nationale : une atmosphère étrange avec une ministre démissionnaire
La rentrée scolaire s’annonce particulièrement singulière cette année dans l’Education nationale. En effet, pour la première fois sous la Ve République, les élèves feront leur retour sur les bancs de l’école sans qu’un ministre de plein exercice ne soit en charge du portefeuille de l’Education. Cette situation inédite s’ajoute à une période d’instabilité ministérielle qui a marqué les derniers mois.

La démission de la ministre de l’Education nationale a laissé un vide au sein du gouvernement, et a jeté un voile d’incertitude sur la rentrée des classes. Les enseignants, les élèves et les parents d’élèves se retrouvent donc dans une atmosphère étrange, marquée par l’absence d’un leader clairement identifié à la tête du ministère.

Cette situation soulève de nombreuses questions quant à l’organisation de cette rentrée des classes. Comment les mesures sanitaires seront-elles mises en place dans les établissements scolaires ? Quelles orientations pédagogiques seront privilégiées cette année ? Autant de questions qui restent en suspens alors que l’Education nationale fait face à un contexte exceptionnel.

Malgré ces incertitudes, les acteurs de l’Education nationale restent mobilisés pour assurer le bon déroulement de cette rentrée atypique. Les enseignants, les personnels éducatifs et les chefs d’établissement mettent tout en œuvre pour accueillir les élèves dans les meilleures conditions possibles, malgré les difficultés rencontrées.

En somme, cette rentrée des classes s’annonce comme un défi à relever pour l’Education nationale. Dans un contexte marqué par l’absence d’une ministre en exercice, les acteurs de l’éducation devront redoubler d’efforts pour garantir la réussite de cette rentrée scolaire si particulière.
Lire la suite »

Paris 2024 : la difficile acceptation de Valentina Petrillo, première athlète transgenre aux Paralympiques
          Pour vivre son rêve paralympique de la meilleure façon possible, l'Italienne Valentina Petrillo peut compter sur le soutien de l'association où elle s'entraîne, l'ASD Omero Bergamo, qui affronte la tempête médiatique avec son athlète.

Valentina Petrillo, première athlète transgenre aux Paralympiques, éprouve des difficultés à être acceptée pour Paris 2024

Valentina Petrillo, une athlète italienne transgenre, a réalisé son rêve de participer aux Jeux Paralympiques. Cependant, elle doit faire face à des défis et à une certaine résistance de la part de certains acteurs du monde du sport. Heureusement, elle peut compter sur le soutien de l’ASD Omero Bergamo, le club où elle s’entraîne, pour faire face à la tempête médiatique et aux préjugés.

L’acceptation de Valentina Petrillo en tant que première athlète transgenre aux Paralympiques est un enjeu majeur pour les jeux de Paris 2024. Elle incarne la diversité et la lutte contre la discrimination dans le sport. Son parcours inspirant et sa détermination à vivre pleinement sa passion malgré les obstacles font d’elle un modèle pour de nombreux autres athlètes.

L’ASD Omero Bergamo, en tant que club support de Valentina, se mobilise pour la soutenir et l’accompagner dans son parcours. L’association fait face à la pression médiatique et aux commentaires négatifs, mais reste fidèle à ses valeurs d’inclusion et de respect de la diversité. Ensemble, ils défient les préjugés et ouvrent la voie à une plus grande acceptation de la transidentité dans le monde du sport.

En dépit des obstacles et des critiques, Valentina Petrillo reste déterminée à vivre pleinement son rêve paralympique. Sa force et sa résilience sont admirables, et elle espère que son parcours inspirera d’autres personnes à être fières de qui elles sont et à poursuivre leurs objectifs, quelles que soient les difficultés rencontrées en chemin.

Pour réaliser son rêve paralympique, Valentina Petrillo peut compter sur le soutien inconditionnel de l’ASD Omero Bergamo, l’association sportive où

Valentina Petrillo, première athlète transgenre aux Paralympiques, éprouve des difficultés à être acceptée pour Paris 2024

Valentina Petrillo, une athlète italienne transgenre, a réalisé son rêve de participer aux Jeux Paralympiques. Cependant, elle doit faire face à des défis et à une certaine résistance de la part de certains acteurs du monde du sport. Heureusement, elle peut compter sur le soutien de l’ASD Omero Bergamo, le club où elle s’entraîne, pour faire face à la tempête médiatique et aux préjugés.

L’acceptation de Valentina Petrillo en tant que première athlète transgenre aux Paralympiques est un enjeu majeur pour les jeux de Paris 2024. Elle incarne la diversité et la lutte contre la discrimination dans le sport. Son parcours inspirant et sa détermination à vivre pleinement sa passion malgré les obstacles font d’elle un modèle pour de nombreux autres athlètes.

L’ASD Omero Bergamo, en tant que club support de Valentina, se mobilise pour la soutenir et l’accompagner dans son parcours. L’association fait face à la pression médiatique et aux commentaires négatifs, mais reste fidèle à ses valeurs d’inclusion et de respect de la diversité. Ensemble, ils défient les préjugés et ouvrent la voie à une plus grande acceptation de la transidentité dans le monde du sport.

En dépit des obstacles et des critiques, Valentina Petrillo reste déterminée à vivre pleinement son rêve paralympique. Sa force et sa résilience sont admirables, et elle espère que son parcours inspirera d’autres personnes à être fières de qui elles sont et à poursuivre leurs objectifs, quelles que soient les difficultés rencontrées en chemin.
Lire la suite »

Le Festival Interceltique de Lorient, plus grand rassemblement des Celtes au monde, célèbre ses cultures entre tradition et modernité
          Pour cette 53e édition, plus de 300 spectacles et animations sont proposés sur 12 scènes jusqu'au 19 août.

Festival Interceltique de Lorient : célébration des cultures celtes entre tradition et modernité

Le Festival Interceltique de Lorient, considéré comme le plus grand rassemblement des Celtes au monde, bat son plein pour sa 53e édition. Plus de 300 spectacles et animations sont programmés sur 12 scènes différentes jusqu’au 19 août. Cet événement unique met en avant la richesse et la diversité des cultures celtes, alliant traditions séculaires et créations contemporaines.

Chaque année, des milliers de visiteurs se rendent à Lorient pour assister à ce festival emblématique. Les spectateurs peuvent découvrir des concerts, des défilés, des expositions, des conférences, des ateliers et bien d’autres activités mettant en lumière les différentes facettes des cultures celtes. Les artistes et groupes invités viennent des pays celtes (Bretagne, Ecosse, Irlande, Pays de Galles, Cornouailles, Galice, Asturies) mais aussi d’autres régions du monde où l’influence celte se fait sentir.

Le Festival Interceltique de Lorient est un lieu de rencontres et d’échanges, où se mêlent les langues, les musiques, les danses et les traditions des peuples celtes. Il permet de célébrer l’identité celte dans toute sa diversité, tout en favorisant les échanges interculturels et la découverte de nouvelles formes artistiques.

Cette année encore, le festival promet d’être riche en émotions et en découvertes, avec des artistes de renom et des talents émergents qui se succèdent sur scène. Les festivaliers pourront ainsi voyager à travers les différentes cultures celtes, se laisser emporter par la magie des légendes et des traditions, et partager des moments uniques de convivialité et de partage.

Le Festival Interceltique de Lorient est plus qu’un simple événement culturel : c’est une véritable célébration de l’histoire, de la langue, de la musique et de la danse des peuples celtes. Il incarne le dynamisme et la vitalité de ces cultures, qui continuent de s’exprimer et de se réinventer au fil du temps. En associant tradition et modernité, le festival témoigne de la richesse et de la créativité des héritages celtes, et invite chacun à découvrir et à apprécier cette diversité culturelle unique au monde.

La 53e édition de cet événement propose un programme riche et varié, avec plus de 300 spectacles et animations répartis

Festival Interceltique de Lorient : célébration des cultures celtes entre tradition et modernité

Le Festival Interceltique de Lorient, considéré comme le plus grand rassemblement des Celtes au monde, bat son plein pour sa 53e édition. Plus de 300 spectacles et animations sont programmés sur 12 scènes différentes jusqu’au 19 août. Cet événement unique met en avant la richesse et la diversité des cultures celtes, alliant traditions séculaires et créations contemporaines.

Chaque année, des milliers de visiteurs se rendent à Lorient pour assister à ce festival emblématique. Les spectateurs peuvent découvrir des concerts, des défilés, des expositions, des conférences, des ateliers et bien d’autres activités mettant en lumière les différentes facettes des cultures celtes. Les artistes et groupes invités viennent des pays celtes (Bretagne, Ecosse, Irlande, Pays de Galles, Cornouailles, Galice, Asturies) mais aussi d’autres régions du monde où l’influence celte se fait sentir.

Le Festival Interceltique de Lorient est un lieu de rencontres et d’échanges, où se mêlent les langues, les musiques, les danses et les traditions des peuples celtes. Il permet de célébrer l’identité celte dans toute sa diversité, tout en favorisant les échanges interculturels et la découverte de nouvelles formes artistiques.

Cette année encore, le festival promet d’être riche en émotions et en découvertes, avec des artistes de renom et des talents émergents qui se succèdent sur scène. Les festivaliers pourront ainsi voyager à travers les différentes cultures celtes, se laisser emporter par la magie des légendes et des traditions, et partager des moments uniques de convivialité et de partage.

Le Festival Interceltique de Lorient est plus qu’un simple événement culturel : c’est une véritable célébration de l’histoire, de la langue, de la musique et de la danse des peuples celtes. Il incarne le dynamisme et la vitalité de ces cultures, qui continuent de s’exprimer et de se réinventer au fil du temps. En associant tradition et modernité, le festival témoigne de la richesse et de la créativité des héritages celtes, et invite chacun à découvrir et à apprécier cette diversité culturelle unique au monde.
Lire la suite »

JO de Paris 2024 : "La plus belle et la plus effrayante du monde", la vague de Teahupo'o vue par les surfeurs de l'équipe de France
          Les épreuves de surf se tiennent à partir de samedi à Tahiti. Parmi les quatre Tricolores qualifiés, deux sont Polynésiens et connaissent parfaitement cette vague mythique, redoutée pour sa puissance.

Les surfeurs de l’équipe de France qualifiés pour les JO de Paris 2024 se préparent à affronter la célèbre vague de Teahupo’o à Tahiti. Deux des quatre surfeurs qualifiés sont originaires de Polynésie et ont une connaissance approfondie de cette vague redoutable. La réputation de Teahupo’o en fait l’une des vagues les plus belles et effrayantes du monde, offrant des conditions de surf extrêmes et spectaculaires. Les surfeurs français sont prêts à relever le défi et à montrer leur talent sur cette vague légendaire lors des épreuves qui auront lieu à partir de samedi.

Les compétitions de surf débutent ce samedi à Tahiti. Sur les quatre surfeurs français qualifiés, deux d’entre eux sont originaires

Les surfeurs de l’équipe de France qualifiés pour les JO de Paris 2024 se préparent à affronter la célèbre vague de Teahupo’o à Tahiti. Deux des quatre surfeurs qualifiés sont originaires de Polynésie et ont une connaissance approfondie de cette vague redoutable. La réputation de Teahupo’o en fait l’une des vagues les plus belles et effrayantes du monde, offrant des conditions de surf extrêmes et spectaculaires. Les surfeurs français sont prêts à relever le défi et à montrer leur talent sur cette vague légendaire lors des épreuves qui auront lieu à partir de samedi. Lire la suite »

JO de Paris 2024 : "Ils ont fait le job", savourent les supporters marseillais après la victoire de l'équipe de France de football masculine contre les Etats-Unis
          Dans un stade bien rempli, plus de 60 000 spectateurs ont répondu présents, les Bleus de Thierry Henry se sont imposés 3-0 contre les États-Unis. Les supporters marseillais croisés ont apprécié l'ambiance et le spectacle.

Victoire des Bleus à Marseille : supporters savourent le job fait par l’équipe de France aux JO de Paris 2024

Devant une foule nombreuse de plus de 60 000 spectateurs, l’équipe dirigée par Thierry Henry, les Bleus, a remporté une victoire

Victoire des Bleus à Marseille : supporters savourent le job fait par l’équipe de France aux JO de Paris 2024 Lire la suite »

Une enquête ouverte après des insultes et menaces homophobes à l'encontre d'une directrice d'école du Cantal
          Face à un tel déferlement de haine s'étalant sur plusieurs mois, les investigations se poursuivent et ont été confiées à la gendarmerie, a précisé le parquet d'Aurillac mardi.

Enquête ouverte pour insultes et menaces homophobes contre une directrice d’école dans le Cantal

Une enquête a été ouverte après que la directrice d’une école du Cantal ait été victime d’insultes et de menaces homophobes pendant plusieurs mois. Le parquet d’Aurillac a confié cette affaire à la gendarmerie pour mener des investigations approfondies.

Les faits ont été signalés et dénoncés par la victime, qui a fait face à un véritable déferlement de haine. Les propos homophobes et les menaces proférés à son encontre ont suscité une vive indignation et une condamnation unanime de la part des autorités.

Les enquêteurs s’attellent à retracer l’auteur de ces messages haineux et à déterminer les circonstances de ces actes odieux. La directrice d’école a reçu un soutien massif de la part de la communauté éducative et des habitants du Cantal, qui ont exprimé leur solidarité et leur soutien face à de tels agissements inacceptables.

Cette affaire met en lumière la persistance de l’homophobie et de la discrimination dans notre société, et rappelle la nécessité de lutter contre toutes les formes de haine et de violence. Les autorités se veulent déterminées à faire toute la lumière sur cette affaire et à traduire en justice les responsables de ces actes condamnables.

Devant la propagation persistante d’actes haineux sur une longue période, les enquêtes se poursuivent et ont été confiées à la

Enquête ouverte pour insultes et menaces homophobes contre une directrice d’école dans le Cantal

Une enquête a été ouverte après que la directrice d’une école du Cantal ait été victime d’insultes et de menaces homophobes pendant plusieurs mois. Le parquet d’Aurillac a confié cette affaire à la gendarmerie pour mener des investigations approfondies.

Les faits ont été signalés et dénoncés par la victime, qui a fait face à un véritable déferlement de haine. Les propos homophobes et les menaces proférés à son encontre ont suscité une vive indignation et une condamnation unanime de la part des autorités.

Les enquêteurs s’attellent à retracer l’auteur de ces messages haineux et à déterminer les circonstances de ces actes odieux. La directrice d’école a reçu un soutien massif de la part de la communauté éducative et des habitants du Cantal, qui ont exprimé leur solidarité et leur soutien face à de tels agissements inacceptables.

Cette affaire met en lumière la persistance de l’homophobie et de la discrimination dans notre société, et rappelle la nécessité de lutter contre toutes les formes de haine et de violence. Les autorités se veulent déterminées à faire toute la lumière sur cette affaire et à traduire en justice les responsables de ces actes condamnables.
Lire la suite »

Retour en haut