liberté

Les hôtels désormais libres de proposer de meilleurs prix que la plateforme Booking dans l'Union européenne
          "Booking n'aura pas le droit d'augmenter les taux de commission ni de déréférencer les offres" des entreprises qui proposent des prix différents sur un autre site, a assuré jeudi la Commission européenne.

Les hôtels peuvent proposer des tarifs compétitifs en UE, Commission européenne limite Booking

La Commission européenne a annoncé jeudi que les hôtels sont autorisés à offrir des prix plus attractifs que la plateforme Booking, sans craindre des augmentations de commission ou des déréférencements. Cette décision vise à promouvoir la concurrence et à donner plus de liberté aux entreprises du secteur hôtelier. Selon la Commission, cette mesure permettra aux consommateurs de bénéficier de tarifs plus avantageux et de choisir parmi une plus grande variété d’offres. Cette décision vise à renforcer la transparence et à encourager la concurrence dans le secteur du tourisme en ligne.

La Commission européenne a confirmé jeudi que Booking ne pourra pas modifier les taux de commission ni supprimer des offres

"Le Der des Ders" de la première guerre mondiale, et le vulgaire comme injonctions faites aux femmes
          Dans Tout Public du lundi 11 novembre 2024, Romain Potocki pour "Le Der des Ders" diffusé sur France 2, et l'essayiste féministe Valérie Rey-Robert pour "Vulgaire, qui décide ?".

Femmes et première guerre mondiale : réflexions sur le vulgaire

Dans l’émission Tout Public du lundi 11 novembre 2024, Romain Potocki a abordé le thème du « Der des Ders » de la première guerre mondiale, tandis que l’essayiste féministe Valérie Rey-Robert a discuté du concept de vulgarité dans son ouvrage « Vulgaire, qui décide ? ».

Le « Der des Ders », surnom donné à la première guerre mondiale, a été au cœur des réflexions de Romain Potocki dans cette émission diffusée sur France 2. Il a mis en lumière les conséquences dévastatrices de ce conflit sur les hommes et les femmes, soulignant l’importance de se souvenir de cette période sombre de l’histoire.

De son côté, Valérie Rey-Robert a choisi d’explorer la question de la vulgarité, notamment en ce qui concerne les injonctions faites aux femmes. Dans son livre « Vulgaire, qui décide ? », elle remet en question les normes sociales qui définissent ce qui est considéré comme vulgaire ou non, et souligne l’impact de ces normes sur la liberté des femmes.

En réunissant ces deux thématiques, l’émission Tout Public a offert une réflexion approfondie sur la manière dont la guerre et la société influencent la perception de la vulgarité, en particulier en ce qui concerne les femmes. Cette discussion a permis de mettre en lumière les enjeux de mémoire et d’égalité de genre qui continuent de marquer notre société contemporaine.

Lors de l’émission Tout Public du lundi 11 novembre 2024, Romain Potocki était présent pour présenter son documentaire intitulé « Le

Éric Fassin sur l'élection de Donald Trump, l'hommage à Madeleine Riffaud, Jacques Tardi pour le dernier tome de "Nestor Burma", et "The Substance" au cinéma
          Dans Tout Public du jeudi 7 novembre 2024, le sociologue Éric Fassin décortique la victoire de Trump et la défaite du parti démocrate, Jean-David Morvan rend hommage à la résistante Madeleine Riffaud, Jacques Tardi parle de "Nestor Bura - Du Rififi à Ménilmontant", et Coralie Fargeat de "The Substance".

Éric Fassin analyse l’élection de Trump, hommage à Madeleine Riffaud, Jacques Tardi et « Nestor Burma », Coralie Fargeat et « The Substance »

Dans l’émission Tout Public du jeudi 7 novembre 2024, le sociologue Éric Fassin revient sur la victoire de Donald Trump et la défaite du parti démocrate lors de l’élection présidentielle. Il décortique les raisons qui ont mené à ce résultat inattendu et les conséquences que cela pourrait avoir sur la politique américaine et internationale.

Jean-David Morvan profite de l’occasion pour rendre hommage à la résistante Madeleine Riffaud, figure emblématique de la lutte contre l’occupation nazie en France. Il souligne l’importance de se souvenir de ces héros et héroïnes qui ont sacrifié leur vie pour la liberté et la justice.

Jacques Tardi, quant à lui, évoque son dernier tome de « Nestor Burma » intitulé « Du Rififi à Ménilmontant ». L’auteur de bande dessinée revient sur la genèse de cette œuvre et les enjeux qu’elle soulève, mêlant habilement suspense, humour et critique sociale.

Enfin, Coralie Fargeat présente son film « The Substance » qui suscite déjà beaucoup d’attentes. Ce thriller psychologique promet de plonger les spectateurs dans une ambiance sombre et angoissante, explorant les méandres de l’esprit humain et les secrets qui le hantent.

A travers ces différents sujets, l’émission met en lumière des artistes et intellectuels engagés qui interrogent le monde qui les entoure et invitent le public à la réflexion.

Le sociologue Éric Fassin analyse en détail la victoire de Trump et la défaite du parti démocrate dans l’émission Tout

La liberté de création est "de plus en plus" remise en cause, selon une commission du Sénat
          Les artistes ont très peu recours au dispositif légal mis en place pour garantir leur liberté d'expression.

Liberté créative menacée : les artistes peu enclins à utiliser les dispositifs légaux

Une commission du Sénat met en lumière la remise en question croissante de la liberté de création dans le milieu artistique. Les artistes, pourtant protégés par des dispositifs légaux, semblent peu enclins à les utiliser pour garantir leur liberté d’expression.

La liberté de création est un pilier essentiel de la démocratie, permettant aux artistes d’exprimer leur vision du monde, de questionner la société et de susciter le débat. Cependant, cette liberté est de plus en plus remise en cause, notamment par des pressions politiques, économiques ou sociales.

Malgré l’existence de dispositifs légaux visant à protéger la liberté d’expression des artistes, ces derniers semblent peu enclins à les utiliser. Selon la commission du Sénat, seule une minorité d’artistes a recours à ces outils juridiques pour faire valoir leurs droits.

Cette réticence des artistes à se saisir des dispositifs légaux peut s’expliquer par plusieurs facteurs. Certains artistes craignent des représailles de la part des autorités ou des milieux conservateurs. D’autres estiment que ces procédures sont longues, complexes et coûteuses, les dissuadant ainsi de les utiliser.

Pourtant, il est essentiel que les artistes se saisissent de ces outils juridiques pour défendre leur liberté de création. En effet, en faisant valoir leurs droits, les artistes contribuent à renforcer la démocratie et à préserver la diversité des expressions artistiques.

Face à la remise en question croissante de la liberté de création, il est donc nécessaire de sensibiliser les artistes sur l’importance d’utiliser les dispositifs légaux à leur disposition. Il revient également aux pouvoirs publics et aux institutions culturelles de soutenir et de protéger la liberté d’expression des artistes, en garantissant un environnement favorable à la création artistique.

Il est observé que les artistes ont tendance à éviter d’utiliser le dispositif légal destiné à protéger leur liberté d’expression.

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