liberté

À Perpignan, l'exposition "La tragédie de Gaza" du photographe Loay Ayyoub déclenche une polémique à Visa pour l'Image
          La 36e édition de Visa pour l'Image, inaugurée avec l'exposition "La tragédie de Gaza", a débuté d'emblée par une controverse. Le Maire RN de Perpignan Louis Alliot a refusé de remettre le Prix de la ville au photoreporter gazaoui Loay Ayyoub. Le Festival du photojournalisme se poursuit jusqu'au 15 septembre.

Polémique autour de l’exposition « La tragédie de Gaza » à Visa pour l’Image
La nouvelle édition de Visa pour l’Image a débuté avec une exposition qui a suscité la polémique. Le Maire RN de Perpignan, Louis Alliot, a décidé de ne pas remettre le Prix de la ville à Loay Ayyoub, le photographe gazaoui derrière l’exposition controversée. Malgré cette controverse, le Festival du photojournalisme se poursuit jusqu’au 15 septembre.
Cette année, l’exposition « La tragédie de Gaza » de Loay Ayyoub a fait couler beaucoup d’encre. Les photos du photoreporter gazaoui ont suscité des réactions mitigées, certaines personnes saluant le travail de l’artiste tandis que d’autres critiquaient le choix de mettre en avant ce sujet sensible.
La décision du Maire de Perpignan a soulevé des questions sur la liberté d’expression et le rôle des politiques dans la censure artistique. Certains ont accusé Louis Alliot d’interférer dans le déroulement du Festival en refusant de remettre le Prix de la ville au photographe.
Malgré cette controverse, Visa pour l’Image continue de proposer une programmation riche et diversifiée. Les visiteurs pourront découvrir de nombreuses expositions de qualité et assister à des rencontres avec des professionnels du secteur. Le Festival se poursuit jusqu’au 15 septembre, offrant ainsi aux passionnés de photojournalisme l’occasion de découvrir le travail de talents émergents et confirmés.

La 36e édition de Visa pour l’Image a débuté avec une exposition intitulée « La tragédie de Gaza », suscitant immédiatement une […]

Polémique autour de l’exposition « La tragédie de Gaza » à Visa pour l’Image
La nouvelle édition de Visa pour l’Image a débuté avec une exposition qui a suscité la polémique. Le Maire RN de Perpignan, Louis Alliot, a décidé de ne pas remettre le Prix de la ville à Loay Ayyoub, le photographe gazaoui derrière l’exposition controversée. Malgré cette controverse, le Festival du photojournalisme se poursuit jusqu’au 15 septembre.
Cette année, l’exposition « La tragédie de Gaza » de Loay Ayyoub a fait couler beaucoup d’encre. Les photos du photoreporter gazaoui ont suscité des réactions mitigées, certaines personnes saluant le travail de l’artiste tandis que d’autres critiquaient le choix de mettre en avant ce sujet sensible.
La décision du Maire de Perpignan a soulevé des questions sur la liberté d’expression et le rôle des politiques dans la censure artistique. Certains ont accusé Louis Alliot d’interférer dans le déroulement du Festival en refusant de remettre le Prix de la ville au photographe.
Malgré cette controverse, Visa pour l’Image continue de proposer une programmation riche et diversifiée. Les visiteurs pourront découvrir de nombreuses expositions de qualité et assister à des rencontres avec des professionnels du secteur. Le Festival se poursuit jusqu’au 15 septembre, offrant ainsi aux passionnés de photojournalisme l’occasion de découvrir le travail de talents émergents et confirmés.
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Street Art City : un ancien site industriel transformé en capitale de l'art urbain dans l'Allier
          La capitale du graff Lurcy-Lévis reçoit une trentaine de nouveaux artistes du monde entier chaque année. Un concept unique au monde où Antoine et Katia se sont rencontrés. Il vient du graffiti, elle vient de l'illustration, et désormais, ils forment Kat & Action.

Transformation d’un ancien site industriel en capitale de l’art urbain à Street Art City, Lurcy-Lévis
Street Art City, situé à Lurcy-Lévis, est devenu la capitale du graffiti. Chaque année, une trentaine d’artistes du monde entier viennent y laisser leur empreinte. Parmi eux, Antoine et Katia, qui ont fusionné leurs talents pour former le duo Kat & Action. Antoine, spécialiste du graffiti, et Katia, illustratrice, ont trouvé en Street Art City un lieu unique pour exprimer leur créativité.

Ce site industriel reconverti en galerie d’art à ciel ouvert offre une liberté totale aux artistes, qui peuvent laisser libre cours à leur imagination. Les murs sont devenus des toiles géantes, offrant aux visiteurs une expérience artistique immersive. Street Art City est devenu un lieu incontournable pour les amateurs d’art urbain, qui viennent du monde entier pour découvrir les oeuvres éphémères qui s’y trouvent.

Antoine et Katia font partie de ces artistes qui ont été séduits par l’atmosphère unique de Street Art City. Leur collaboration, née de leur rencontre sur ce site, est le reflet de la diversité et de la richesse artistique que l’on peut y trouver. Ensemble, ils repoussent les limites de l’art urbain et créent des oeuvres qui ne laissent personne indifférent.

Street Art City est bien plus qu’un simple lieu d’exposition, c’est un véritable laboratoire artistique où se mêlent les influences du monde entier. Chaque artiste apporte sa touche personnelle à ce projet collectif, contribuant à faire de Street Art City un lieu unique et inspirant. Antoine et Katia font partie de cette communauté d’artistes qui ont trouvé en ce lieu une source d’inspiration inépuisable.

Chaque année, une trentaine d’artistes du monde entier se rendent à Lurcy-Lévis, la capitale du graffiti, pour participer à un

Transformation d’un ancien site industriel en capitale de l’art urbain à Street Art City, Lurcy-Lévis
Street Art City, situé à Lurcy-Lévis, est devenu la capitale du graffiti. Chaque année, une trentaine d’artistes du monde entier viennent y laisser leur empreinte. Parmi eux, Antoine et Katia, qui ont fusionné leurs talents pour former le duo Kat & Action. Antoine, spécialiste du graffiti, et Katia, illustratrice, ont trouvé en Street Art City un lieu unique pour exprimer leur créativité.

Ce site industriel reconverti en galerie d’art à ciel ouvert offre une liberté totale aux artistes, qui peuvent laisser libre cours à leur imagination. Les murs sont devenus des toiles géantes, offrant aux visiteurs une expérience artistique immersive. Street Art City est devenu un lieu incontournable pour les amateurs d’art urbain, qui viennent du monde entier pour découvrir les oeuvres éphémères qui s’y trouvent.

Antoine et Katia font partie de ces artistes qui ont été séduits par l’atmosphère unique de Street Art City. Leur collaboration, née de leur rencontre sur ce site, est le reflet de la diversité et de la richesse artistique que l’on peut y trouver. Ensemble, ils repoussent les limites de l’art urbain et créent des oeuvres qui ne laissent personne indifférent.

Street Art City est bien plus qu’un simple lieu d’exposition, c’est un véritable laboratoire artistique où se mêlent les influences du monde entier. Chaque artiste apporte sa touche personnelle à ce projet collectif, contribuant à faire de Street Art City un lieu unique et inspirant. Antoine et Katia font partie de cette communauté d’artistes qui ont trouvé en ce lieu une source d’inspiration inépuisable.
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BD : la Résistance grenobloise au cœur du 10e album de la série "Les Compagnons de la Libération"
          Après l'île de Sein et Vassieux-en-Vercors, l'historien et scénariste Jean-Yves Le Naour consacre ce nouveau tome à Grenoble et à l'héroïsme de certains de ses habitants engagés dans la Résistance.

La résistance grenobloise mise à l’honneur dans le dernier album des « Compagnons de la Libération »

Dans le dixième album de la série « Les Compagnons de la Libération », l’auteur Jean-Yves Le Naour met en lumière l’engagement héroïque de certains habitants de Grenoble pendant la période de la Résistance. Après avoir exploré les thèmes de l’île de Sein et de Vassieux-en-Vercors, l’historien et scénariste se penche sur la ville de Grenoble et les actes de courage de ses résistants.

Ce nouvel tome plonge le lecteur au cœur de l’histoire de la Résistance dans la région grenobloise, mettant en avant les actions et les sacrifices des hommes et des femmes qui ont lutté pour la liberté pendant la Seconde Guerre mondiale. À travers des illustrations poignantes et des récits captivants, l’album rend hommage à la mémoire de ces héros méconnus.

En explorant le contexte historique de l’époque et en mettant en lumière les différentes facettes de la Résistance à Grenoble, Jean-Yves Le Naour offre un témoignage poignant et authentique sur cette période sombre de notre histoire. Grâce à son travail de recherche minutieux et à sa plume talentueuse, l’auteur parvient à capturer l’essence même de la lutte pour la liberté et la dignité humaine.

A travers les pages de cet album, les lecteurs sont invités à découvrir ou redécouvrir l’histoire de la Résistance grenobloise et à rendre hommage aux hommes et aux femmes qui ont risqué leur vie pour défendre leurs idéaux. Un récit captivant et émouvant, qui nous rappelle l’importance de se souvenir et de célébrer le courage et la détermination de ceux qui ont combattu pour un monde meilleur.

Dans son dernier ouvrage, Jean-Yves Le Naour se penche sur l’histoire de la ville de Grenoble pendant la Seconde Guerre

La résistance grenobloise mise à l’honneur dans le dernier album des « Compagnons de la Libération »

Dans le dixième album de la série « Les Compagnons de la Libération », l’auteur Jean-Yves Le Naour met en lumière l’engagement héroïque de certains habitants de Grenoble pendant la période de la Résistance. Après avoir exploré les thèmes de l’île de Sein et de Vassieux-en-Vercors, l’historien et scénariste se penche sur la ville de Grenoble et les actes de courage de ses résistants.

Ce nouvel tome plonge le lecteur au cœur de l’histoire de la Résistance dans la région grenobloise, mettant en avant les actions et les sacrifices des hommes et des femmes qui ont lutté pour la liberté pendant la Seconde Guerre mondiale. À travers des illustrations poignantes et des récits captivants, l’album rend hommage à la mémoire de ces héros méconnus.

En explorant le contexte historique de l’époque et en mettant en lumière les différentes facettes de la Résistance à Grenoble, Jean-Yves Le Naour offre un témoignage poignant et authentique sur cette période sombre de notre histoire. Grâce à son travail de recherche minutieux et à sa plume talentueuse, l’auteur parvient à capturer l’essence même de la lutte pour la liberté et la dignité humaine.

A travers les pages de cet album, les lecteurs sont invités à découvrir ou redécouvrir l’histoire de la Résistance grenobloise et à rendre hommage aux hommes et aux femmes qui ont risqué leur vie pour défendre leurs idéaux. Un récit captivant et émouvant, qui nous rappelle l’importance de se souvenir et de célébrer le courage et la détermination de ceux qui ont combattu pour un monde meilleur.
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Nouvelle-Calédonie : la CCAT exige "la libération et le retour immédiat" des militants indépendantistes transférés dans l'Hexagone
          Sept figures indépendantistes ont été transférées vers l'Hexagone pour y être incarcérées, ce qui a provoqué une nouvelle nuit de violences dans l'archipel du sud du Pacifique

La CCAT demande la libération immédiate des militants indépendantistes de Nouvelle-Calédonie transférés en France

La situation en Nouvelle-Calédonie est tendue après le transfert de sept militants indépendantistes vers la France. La CCAT, organisation de défense des droits de l’homme, demande leur libération immédiate et leur retour dans l’archipel du Pacifique.

Les militants ont été incarcérés en France, ce qui a déclenché une vague de violences dans l’archipel. La CCAT dénonce cette décision et appelle à la libération des prisonniers politiques. Les tensions entre les partisans de l’indépendance et les partisans du maintien dans la France sont à leur comble.

La situation est suivie de près par la communauté internationale, qui appelle au dialogue et à la désescalade. La CCAT demande aux autorités françaises de respecter les droits des militants indépendantistes et de permettre leur retour en Nouvelle-Calédonie.

Cette affaire met en lumière les tensions politiques qui persistent dans l’archipel, malgré les accords de Nouméa. La CCAT rappelle l’importance du respect des droits de l’homme et de la liberté d’expression pour garantir la paix et la stabilité en Nouvelle-Calédonie.

Il est urgent que les autorités trouvent une solution pacifique à cette crise et permettent le retour des militants indépendantistes dans leur pays. La CCAT continuera de suivre de près la situation et de défendre les droits des prisonniers politiques en Nouvelle-Calédonie.

Sept militants indépendantistes ont été déplacés vers la France pour y être emprisonnés, ce qui a déclenché de nouveaux affrontements

La CCAT demande la libération immédiate des militants indépendantistes de Nouvelle-Calédonie transférés en France

La situation en Nouvelle-Calédonie est tendue après le transfert de sept militants indépendantistes vers la France. La CCAT, organisation de défense des droits de l’homme, demande leur libération immédiate et leur retour dans l’archipel du Pacifique.

Les militants ont été incarcérés en France, ce qui a déclenché une vague de violences dans l’archipel. La CCAT dénonce cette décision et appelle à la libération des prisonniers politiques. Les tensions entre les partisans de l’indépendance et les partisans du maintien dans la France sont à leur comble.

La situation est suivie de près par la communauté internationale, qui appelle au dialogue et à la désescalade. La CCAT demande aux autorités françaises de respecter les droits des militants indépendantistes et de permettre leur retour en Nouvelle-Calédonie.

Cette affaire met en lumière les tensions politiques qui persistent dans l’archipel, malgré les accords de Nouméa. La CCAT rappelle l’importance du respect des droits de l’homme et de la liberté d’expression pour garantir la paix et la stabilité en Nouvelle-Calédonie.

Il est urgent que les autorités trouvent une solution pacifique à cette crise et permettent le retour des militants indépendantistes dans leur pays. La CCAT continuera de suivre de près la situation et de défendre les droits des prisonniers politiques en Nouvelle-Calédonie.
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