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À Colmar, les visiteurs du musée Unterlinden assistent à la restauration du "Retable de la vie de la Vierge" daté du XVe siècle
          Ce travail minutieux réalisé par deux conservatrices restauratrices est à observer dans le cadre de l’exposition temporaire "Couleur, gloire et beauté" .

Restauration du Retable de la Vierge à Colmar : une exposition temporaire à ne pas manquer

À Colmar, les visiteurs du musée Unterlinden ont la chance d’assister à la restauration du célèbre « Retable de la vie de la Vierge » daté du XVe siècle. Ce travail minutieux est réalisé par deux conservatrices restauratrices et peut être observé dans le cadre de l’exposition temporaire « Couleur, gloire et beauté ».

Il est possible d’admirer le travail méticuleux effectué par deux conservatrices restauratrices lors de la visite de l’exposition temporaire intitulée […]

Restauration du Retable de la Vierge à Colmar : une exposition temporaire à ne pas manquer

À Colmar, les visiteurs du musée Unterlinden ont la chance d’assister à la restauration du célèbre « Retable de la vie de la Vierge » daté du XVe siècle. Ce travail minutieux est réalisé par deux conservatrices restauratrices et peut être observé dans le cadre de l’exposition temporaire « Couleur, gloire et beauté ».
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Reportage



  

    
      
    
      

  

  
    "Plus on les coupe tôt de l'objet, mieux c'est" : près de Lyon, des élèves de sixième expérimentent l'interdiction du téléphone portable
          Le principal du collège Marcel-Pagnol, à Oullins-Pierre-Bénite, espère limiter l'exposition aux écrans et lutter contre le cyberharcèlement. Conscient que la mesure ne réglera pas tout, il estime aussi que l'interdiction devra être amenée en douceur.

Les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon ont récemment été soumis à une nouvelle règle : l’interdiction d’utiliser leur téléphone portable en classe. Le principal de l’établissement, situé à Oullins-Pierre-Bénite, met en avant les dangers de l’exposition excessive aux écrans et du cyberharcèlement pour justifier cette mesure. Il est conscient que cette interdiction ne résoudra pas tous les problèmes liés à l’usage des smartphones par les jeunes, mais il estime qu’il est important de commencer à sensibiliser les élèves dès le plus jeune âge.

L’objectif de cette initiative est de limiter l’utilisation des téléphones portables pendant les heures de classe afin de favoriser la concentration des élèves et de prévenir les risques liés à une utilisation excessive des écrans. Le principal du collège Marcel-Pagnol insiste sur le fait qu’il est essentiel d’éduquer les jeunes à un usage responsable des nouvelles technologies et à limiter leur dépendance aux smartphones.

Pour mettre en place cette interdiction, le collège prévoit d’accompagner les élèves progressivement en expliquant les raisons de cette mesure et en leur proposant des alternatives pour rester connectés en dehors des cours. Le but n’est pas de priver les élèves de leur téléphone portable, mais de les sensibiliser aux dangers d’une utilisation excessive et inadaptée de cet outil.

Cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large de prévention du cyberharcèlement et de promotion d’un usage responsable des écrans. Le collège Marcel-Pagnol souhaite ainsi contribuer à la sensibilisation des élèves et de leurs parents aux risques liés à l’utilisation des nouvelles technologies.

En conclusion, l’interdiction du téléphone portable en classe pour les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon vise à limiter l’exposition des jeunes aux écrans et à prévenir le cyberharcèlement. Cette mesure s’inscrit dans une démarche de sensibilisation et d’éducation des élèves à un usage responsable des nouvelles technologies.

Le directeur de l’établissement scolaire Marcel-Pagnol de Oullins-Pierre-Bénite souhaite prendre des mesures pour réduire l’utilisation des écrans et combattre le

Les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon ont récemment été soumis à une nouvelle règle : l’interdiction d’utiliser leur téléphone portable en classe. Le principal de l’établissement, situé à Oullins-Pierre-Bénite, met en avant les dangers de l’exposition excessive aux écrans et du cyberharcèlement pour justifier cette mesure. Il est conscient que cette interdiction ne résoudra pas tous les problèmes liés à l’usage des smartphones par les jeunes, mais il estime qu’il est important de commencer à sensibiliser les élèves dès le plus jeune âge.

L’objectif de cette initiative est de limiter l’utilisation des téléphones portables pendant les heures de classe afin de favoriser la concentration des élèves et de prévenir les risques liés à une utilisation excessive des écrans. Le principal du collège Marcel-Pagnol insiste sur le fait qu’il est essentiel d’éduquer les jeunes à un usage responsable des nouvelles technologies et à limiter leur dépendance aux smartphones.

Pour mettre en place cette interdiction, le collège prévoit d’accompagner les élèves progressivement en expliquant les raisons de cette mesure et en leur proposant des alternatives pour rester connectés en dehors des cours. Le but n’est pas de priver les élèves de leur téléphone portable, mais de les sensibiliser aux dangers d’une utilisation excessive et inadaptée de cet outil.

Cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large de prévention du cyberharcèlement et de promotion d’un usage responsable des écrans. Le collège Marcel-Pagnol souhaite ainsi contribuer à la sensibilisation des élèves et de leurs parents aux risques liés à l’utilisation des nouvelles technologies.

En conclusion, l’interdiction du téléphone portable en classe pour les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon vise à limiter l’exposition des jeunes aux écrans et à prévenir le cyberharcèlement. Cette mesure s’inscrit dans une démarche de sensibilisation et d’éducation des élèves à un usage responsable des nouvelles technologies.
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À Perpignan, l'exposition "La tragédie de Gaza" du photographe Loay Ayyoub déclenche une polémique à Visa pour l'Image
          La 36e édition de Visa pour l'Image, inaugurée avec l'exposition "La tragédie de Gaza", a débuté d'emblée par une controverse. Le Maire RN de Perpignan Louis Alliot a refusé de remettre le Prix de la ville au photoreporter gazaoui Loay Ayyoub. Le Festival du photojournalisme se poursuit jusqu'au 15 septembre.

Polémique autour de l’exposition « La tragédie de Gaza » à Visa pour l’Image
La nouvelle édition de Visa pour l’Image a débuté avec une exposition qui a suscité la polémique. Le Maire RN de Perpignan, Louis Alliot, a décidé de ne pas remettre le Prix de la ville à Loay Ayyoub, le photographe gazaoui derrière l’exposition controversée. Malgré cette controverse, le Festival du photojournalisme se poursuit jusqu’au 15 septembre.
Cette année, l’exposition « La tragédie de Gaza » de Loay Ayyoub a fait couler beaucoup d’encre. Les photos du photoreporter gazaoui ont suscité des réactions mitigées, certaines personnes saluant le travail de l’artiste tandis que d’autres critiquaient le choix de mettre en avant ce sujet sensible.
La décision du Maire de Perpignan a soulevé des questions sur la liberté d’expression et le rôle des politiques dans la censure artistique. Certains ont accusé Louis Alliot d’interférer dans le déroulement du Festival en refusant de remettre le Prix de la ville au photographe.
Malgré cette controverse, Visa pour l’Image continue de proposer une programmation riche et diversifiée. Les visiteurs pourront découvrir de nombreuses expositions de qualité et assister à des rencontres avec des professionnels du secteur. Le Festival se poursuit jusqu’au 15 septembre, offrant ainsi aux passionnés de photojournalisme l’occasion de découvrir le travail de talents émergents et confirmés.

La 36e édition de Visa pour l’Image a débuté avec une exposition intitulée « La tragédie de Gaza », suscitant immédiatement une

Polémique autour de l’exposition « La tragédie de Gaza » à Visa pour l’Image
La nouvelle édition de Visa pour l’Image a débuté avec une exposition qui a suscité la polémique. Le Maire RN de Perpignan, Louis Alliot, a décidé de ne pas remettre le Prix de la ville à Loay Ayyoub, le photographe gazaoui derrière l’exposition controversée. Malgré cette controverse, le Festival du photojournalisme se poursuit jusqu’au 15 septembre.
Cette année, l’exposition « La tragédie de Gaza » de Loay Ayyoub a fait couler beaucoup d’encre. Les photos du photoreporter gazaoui ont suscité des réactions mitigées, certaines personnes saluant le travail de l’artiste tandis que d’autres critiquaient le choix de mettre en avant ce sujet sensible.
La décision du Maire de Perpignan a soulevé des questions sur la liberté d’expression et le rôle des politiques dans la censure artistique. Certains ont accusé Louis Alliot d’interférer dans le déroulement du Festival en refusant de remettre le Prix de la ville au photographe.
Malgré cette controverse, Visa pour l’Image continue de proposer une programmation riche et diversifiée. Les visiteurs pourront découvrir de nombreuses expositions de qualité et assister à des rencontres avec des professionnels du secteur. Le Festival se poursuit jusqu’au 15 septembre, offrant ainsi aux passionnés de photojournalisme l’occasion de découvrir le travail de talents émergents et confirmés.
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Quand les Normands apprenaient à nager au XIXe siècle : à Paluel, l'exposition "Les pieds dans l'eau" raconte l'histoire en caricatures
          Faire "trempette" au Havre est une habitude estivale pour beaucoup. Deux siècles plus tôt, les plages normandes étaient le théâtre de coutumes bien plus étranges...

Apprendre à nager en Normandie au XIXe siècle : l’exposition « Les pieds dans l’eau » à Paluel retrace cette étonnante histoire

Se baigner au Havre est devenu une tradition estivale pour de nombreuses personnes. Cependant, il y a deux siècles, les plages normandes étaient le théâtre de pratiques bien différentes. A Paluel, une exposition intitulée « Les pieds dans l’eau » présente de manière caricaturale l’histoire de l’apprentissage de la natation en Normandie au XIXe siècle.

L’exposition met en lumière les différentes pratiques et croyances qui entouraient l’apprentissage de la natation à l’époque. Les Normands avaient en effet des méthodes bien particulières pour enseigner cette compétence essentielle. Les caricatures présentées dans l’exposition offrent un regard amusant sur ces pratiques, mettant en scène des scènes burlesques et parfois extravagantes.

Les visiteurs peuvent ainsi découvrir comment les habitants de la région se familiarisaient avec l’eau, parfois de manière peu conventionnelle. L’exposition retrace également l’évolution des techniques d’apprentissage de la natation au fil du temps, montrant comment la pratique s’est peu à peu démocratisée et professionnalisée.

En explorant cette facette méconnue de l’histoire normande, l’exposition « Les pieds dans l’eau » invite les visiteurs à plonger dans un univers drôle et surprenant, où l’apprentissage de la natation était synonyme de tradition et de folklore. Une manière originale de découvrir un pan oublié du patrimoine culturel de la région.

Se baigner au Havre est une tradition estivale appréciée par de nombreux habitants. Il y a deux cents ans, les

Apprendre à nager en Normandie au XIXe siècle : l’exposition « Les pieds dans l’eau » à Paluel retrace cette étonnante histoire

Se baigner au Havre est devenu une tradition estivale pour de nombreuses personnes. Cependant, il y a deux siècles, les plages normandes étaient le théâtre de pratiques bien différentes. A Paluel, une exposition intitulée « Les pieds dans l’eau » présente de manière caricaturale l’histoire de l’apprentissage de la natation en Normandie au XIXe siècle.

L’exposition met en lumière les différentes pratiques et croyances qui entouraient l’apprentissage de la natation à l’époque. Les Normands avaient en effet des méthodes bien particulières pour enseigner cette compétence essentielle. Les caricatures présentées dans l’exposition offrent un regard amusant sur ces pratiques, mettant en scène des scènes burlesques et parfois extravagantes.

Les visiteurs peuvent ainsi découvrir comment les habitants de la région se familiarisaient avec l’eau, parfois de manière peu conventionnelle. L’exposition retrace également l’évolution des techniques d’apprentissage de la natation au fil du temps, montrant comment la pratique s’est peu à peu démocratisée et professionnalisée.

En explorant cette facette méconnue de l’histoire normande, l’exposition « Les pieds dans l’eau » invite les visiteurs à plonger dans un univers drôle et surprenant, où l’apprentissage de la natation était synonyme de tradition et de folklore. Une manière originale de découvrir un pan oublié du patrimoine culturel de la région.
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À Deauville, l'exposition "Mondes flottants" explore l'influence réciproque des artistes japonais et français, de l'époque impressionniste à nos jours
          Le musée des Franciscaines fait dialoguer des œuvres d'art majeures du pays du Soleil-levant, du passé et du présent, avec des peintures des maîtres de l'impressionnisme.

L’influence réciproque des artistes japonais et français à Deauville

L’exposition « Mondes flottants » au musée des Franciscaines met en lumière les liens entre les artistes japonais et français, de l’époque impressionniste à nos jours. Les œuvres d’art majeures du Japon, passées et contemporaines, sont mises en dialogue avec les peintures des grands maîtres de l’impressionnisme. Cette exposition permet de découvrir l’impact de la culture japonaise sur les artistes français, ainsi que l’influence de ces derniers sur les créateurs japonais. Une exploration fascinante de l’histoire de l’art et des échanges culturels entre ces deux pays.

Le musée des Franciscaines met en relation des œuvres d’art importantes du Japon, provenant à la fois du passé et

L’influence réciproque des artistes japonais et français à Deauville

L’exposition « Mondes flottants » au musée des Franciscaines met en lumière les liens entre les artistes japonais et français, de l’époque impressionniste à nos jours. Les œuvres d’art majeures du Japon, passées et contemporaines, sont mises en dialogue avec les peintures des grands maîtres de l’impressionnisme. Cette exposition permet de découvrir l’impact de la culture japonaise sur les artistes français, ainsi que l’influence de ces derniers sur les créateurs japonais. Une exploration fascinante de l’histoire de l’art et des échanges culturels entre ces deux pays.
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À Rennes, découvrez l’histoire du graffiti des années 1960 à nos jours au musée des beaux-arts
          L’exposition "Aérosol, une histoire du graffiti" rassemble des œuvres rares et inédites, ainsi que de nombreux documents, photographies et témoignages.

Découvrez l’histoire du graffiti à Rennes au musée des beaux-arts
L’exposition « Aérosol, une histoire du graffiti » présente des œuvres uniques et des documents inédits qui retracent l’évolution du mouvement artistique depuis les années 1960 jusqu’à nos jours. Les visiteurs auront l’occasion d’admirer des créations originales, des photographies et des témoignages qui témoignent de l’importance du graffiti dans la culture urbaine. Cette exposition offre une immersion fascinante dans l’univers de cet art urbain et permet de mieux comprendre son évolution au fil du temps. Une occasion unique de découvrir la richesse et la diversité du graffiti, de ses débuts controversés à sa reconnaissance en tant qu’expression artistique à part entière. Ne manquez pas cette exposition qui retrace l’histoire passionnante du graffiti à travers une sélection d’œuvres emblématiques et de témoignages poignants.

L’exposition intitulée « Aérosol, une histoire du graffiti » présente une collection d’œuvres exceptionnelles et jamais vues auparavant, accompagnée d’une multitude de

Découvrez l’histoire du graffiti à Rennes au musée des beaux-arts
L’exposition « Aérosol, une histoire du graffiti » présente des œuvres uniques et des documents inédits qui retracent l’évolution du mouvement artistique depuis les années 1960 jusqu’à nos jours. Les visiteurs auront l’occasion d’admirer des créations originales, des photographies et des témoignages qui témoignent de l’importance du graffiti dans la culture urbaine. Cette exposition offre une immersion fascinante dans l’univers de cet art urbain et permet de mieux comprendre son évolution au fil du temps. Une occasion unique de découvrir la richesse et la diversité du graffiti, de ses débuts controversés à sa reconnaissance en tant qu’expression artistique à part entière. Ne manquez pas cette exposition qui retrace l’histoire passionnante du graffiti à travers une sélection d’œuvres emblématiques et de témoignages poignants.
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Le Petit Palais explore l'art urbain pour la première fois dans l'exposition temporaire "We are here"
          200 œuvres de 13 artistes internationaux de street art dont Obey, D*Face ou Invader ont élu domicile parmi les sculptures et tableaux du Petit Palais. A découvrir gratuitement jusqu’au 17 novembre.

Exposition « We are here » : Le Petit Palais met à l’honneur l’art urbain avec 200 œuvres de 13 artistes internationaux

Le Petit Palais propose pour la première fois une exposition temporaire dédiée à l’art urbain. Intitulée « We are here », cette exposition met en lumière le travail de 13 artistes internationaux de street art tels que Obey, D*Face ou Invader. Au total, ce sont 200 œuvres qui ont été sélectionnées pour être exposées parmi les sculptures et tableaux du musée.

Les visiteurs auront ainsi l’occasion de découvrir gratuitement cette exposition unique, qui se tient au Petit Palais jusqu’au 17 novembre. Cette initiative permet de mettre en avant des artistes souvent méconnus du grand public, tout en offrant une nouvelle perspective sur l’art urbain. L’exposition « We are here » offre ainsi une véritable immersion dans cet univers créatif et contemporain, à ne pas manquer pour les amateurs d’art et de culture urbaine.

Jusqu’au 17 novembre, le Petit Palais accueille une exposition exceptionnelle regroupant 200 œuvres réalisées par 13 artistes de street art

Exposition « We are here » : Le Petit Palais met à l’honneur l’art urbain avec 200 œuvres de 13 artistes internationaux

Le Petit Palais propose pour la première fois une exposition temporaire dédiée à l’art urbain. Intitulée « We are here », cette exposition met en lumière le travail de 13 artistes internationaux de street art tels que Obey, D*Face ou Invader. Au total, ce sont 200 œuvres qui ont été sélectionnées pour être exposées parmi les sculptures et tableaux du musée.

Les visiteurs auront ainsi l’occasion de découvrir gratuitement cette exposition unique, qui se tient au Petit Palais jusqu’au 17 novembre. Cette initiative permet de mettre en avant des artistes souvent méconnus du grand public, tout en offrant une nouvelle perspective sur l’art urbain. L’exposition « We are here » offre ainsi une véritable immersion dans cet univers créatif et contemporain, à ne pas manquer pour les amateurs d’art et de culture urbaine.
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Édith Piaf, Jean Marais, Charles Trenet... Immersion au sein des amitiés de Jean Cocteau, au Bastion de Menton
          Jusqu'au 18 novembre, le musée Jean Cocteau propose une exposition sur son passage de poète à metteur en scène. L’occasion d'évoquer quelques "monstres sacrés" qui lui ont été proches.

Jean Cocteau, amitiés célèbres au Bastion de Menton

Le musée Jean Cocteau présente actuellement une exposition mettant en lumière l’évolution de l’artiste, de poète à metteur en scène. Cette rétrospective offre l’opportunité de se plonger dans les relations privilégiées qu’il a entretenues avec quelques grandes figures de son époque.

Parmi ces « monstres sacrés » qui ont croisé le chemin de Jean Cocteau, on retrouve des personnalités emblématiques telles qu’Édith Piaf, Jean Marais et Charles Trenet. Ces artistes ont marqué l’histoire de la culture française et ont partagé des moments privilégiés avec le célèbre poète.

L’exposition permet de découvrir les liens profonds qui unissaient Jean Cocteau à ses amis, et de plonger au cœur de leur complicité. Le Bastion de Menton offre ainsi un cadre idéal pour se replonger dans cette époque riche en créativité et en échanges artistiques.

Jusqu’au 18 novembre, les visiteurs pourront ainsi découvrir l’univers fascinant de Jean Cocteau à travers le prisme de ses amitiés exceptionnelles. Une plongée dans le passé qui promet d’être à la fois enrichissante et émouvante pour tous les amateurs d’art et de culture.

Le musée Jean Cocteau présente actuellement une exposition mettant en lumière la transition de Jean Cocteau du statut de poète

Jean Cocteau, amitiés célèbres au Bastion de Menton

Le musée Jean Cocteau présente actuellement une exposition mettant en lumière l’évolution de l’artiste, de poète à metteur en scène. Cette rétrospective offre l’opportunité de se plonger dans les relations privilégiées qu’il a entretenues avec quelques grandes figures de son époque.

Parmi ces « monstres sacrés » qui ont croisé le chemin de Jean Cocteau, on retrouve des personnalités emblématiques telles qu’Édith Piaf, Jean Marais et Charles Trenet. Ces artistes ont marqué l’histoire de la culture française et ont partagé des moments privilégiés avec le célèbre poète.

L’exposition permet de découvrir les liens profonds qui unissaient Jean Cocteau à ses amis, et de plonger au cœur de leur complicité. Le Bastion de Menton offre ainsi un cadre idéal pour se replonger dans cette époque riche en créativité et en échanges artistiques.

Jusqu’au 18 novembre, les visiteurs pourront ainsi découvrir l’univers fascinant de Jean Cocteau à travers le prisme de ses amitiés exceptionnelles. Une plongée dans le passé qui promet d’être à la fois enrichissante et émouvante pour tous les amateurs d’art et de culture.
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À l'heure des Jeux olympiques de Paris, l'exposition "Go !" revient sur l'histoire du sport à Besançon
          Alors que les Jeux olympiques ont commencé, le sport est à l'honneur à Besançon avec l'exposition "Go !". Une rétrospective de l'histoire du sport dans la ville de 1865 à 2020. L'occasion de se remémorer les grandes heures sportives.

« Exposition ‘Go !’ à Besançon : 155 ans d’histoire du sport en ville »

En cette période de Jeux olympiques, Besançon met à l’honneur le sport à travers l’exposition « Go ! ». Cette rétrospective retrace l’évolution du sport dans la ville, de 1865 à 2020. Une occasion unique de se replonger dans les moments forts de l’histoire sportive locale.

L’exposition met en lumière les grandes heures du sport à Besançon, depuis ses débuts il y a plus d’un siècle jusqu’à nos jours. Les visiteurs pourront découvrir l’évolution des pratiques sportives, l’importance des infrastructures sportives dans la ville et l’impact du sport sur la communauté locale.

À travers des photos, des objets d’époque et des témoignages, l’exposition « Go ! » permet de revivre les moments marquants du sport à Besançon. Des exploits sportifs aux événements marquants, en passant par les grandes figures du sport local, les visiteurs pourront plonger au cœur de l’histoire sportive de la ville.

En cette période de célébration sportive mondiale, l’exposition « Go ! » offre un regard unique sur l’histoire du sport à Besançon. Une occasion de se souvenir des exploits passés et de célébrer l’importance du sport dans la vie de la ville.

Au moment où les Jeux olympiques ont débuté, la ville de Besançon met à l’honneur le sport à travers une

« Exposition ‘Go !’ à Besançon : 155 ans d’histoire du sport en ville »

En cette période de Jeux olympiques, Besançon met à l’honneur le sport à travers l’exposition « Go ! ». Cette rétrospective retrace l’évolution du sport dans la ville, de 1865 à 2020. Une occasion unique de se replonger dans les moments forts de l’histoire sportive locale.

L’exposition met en lumière les grandes heures du sport à Besançon, depuis ses débuts il y a plus d’un siècle jusqu’à nos jours. Les visiteurs pourront découvrir l’évolution des pratiques sportives, l’importance des infrastructures sportives dans la ville et l’impact du sport sur la communauté locale.

À travers des photos, des objets d’époque et des témoignages, l’exposition « Go ! » permet de revivre les moments marquants du sport à Besançon. Des exploits sportifs aux événements marquants, en passant par les grandes figures du sport local, les visiteurs pourront plonger au cœur de l’histoire sportive de la ville.

En cette période de célébration sportive mondiale, l’exposition « Go ! » offre un regard unique sur l’histoire du sport à Besançon. Une occasion de se souvenir des exploits passés et de célébrer l’importance du sport dans la vie de la ville.
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La représentation des athlètes dans les arts visuels au cœur d'une exposition au musée Courbet à Ornans
          Partant du tableau "Les Lutteurs" de Gustave Courbet, cette exposition intitulée "Colosses. Lutteurs, culturistes et costauds dans les arts" se penche à travers une centaine d'œuvres sur l'importance du corps athlétiques dans la culture visuelle de la fin du XIXe siècle et du début du XXe.

Exposition sur les athlètes dans les arts visuels au musée Courbet à Ornans

L’exposition « Colosses. Lutteurs, culturistes et costauds dans les arts » présentée au musée Courbet à Ornans met en lumière la représentation des athlètes dans les arts visuels. En s’inspirant notamment du tableau « Les Lutteurs » de Gustave Courbet, cette exposition explore à travers une centaine d’œuvres l’importance du corps athlétique dans la culture visuelle de la fin du XIXe siècle et du début du XXe.

Les visiteurs pourront ainsi découvrir comment les artistes ont représenté les athlètes, les culturistes et les hommes forts dans leurs œuvres, mettant en avant la force, la grâce et la puissance du corps humain. Cette exposition offre un regard unique sur la manière dont les artistes ont capturé l’essence même de la performance physique à travers la peinture, la sculpture et la photographie.

En mettant en lumière ces représentations artistiques des athlètes, l’exposition invite le public à réfléchir sur la place du corps dans la culture visuelle de l’époque, et sur la manière dont ces images ont contribué à façonner notre perception de la force et de la beauté physique. Une occasion unique de plonger dans l’univers fascinant des athlètes et des culturistes à travers les yeux des artistes de l’époque.

L’exposition « Colosses. Lutteurs, culturistes et costauds dans les arts » s’inspire du tableau de Gustave Courbet intitulé « Les Lutteurs » pour explorer

Exposition sur les athlètes dans les arts visuels au musée Courbet à Ornans

L’exposition « Colosses. Lutteurs, culturistes et costauds dans les arts » présentée au musée Courbet à Ornans met en lumière la représentation des athlètes dans les arts visuels. En s’inspirant notamment du tableau « Les Lutteurs » de Gustave Courbet, cette exposition explore à travers une centaine d’œuvres l’importance du corps athlétique dans la culture visuelle de la fin du XIXe siècle et du début du XXe.

Les visiteurs pourront ainsi découvrir comment les artistes ont représenté les athlètes, les culturistes et les hommes forts dans leurs œuvres, mettant en avant la force, la grâce et la puissance du corps humain. Cette exposition offre un regard unique sur la manière dont les artistes ont capturé l’essence même de la performance physique à travers la peinture, la sculpture et la photographie.

En mettant en lumière ces représentations artistiques des athlètes, l’exposition invite le public à réfléchir sur la place du corps dans la culture visuelle de l’époque, et sur la manière dont ces images ont contribué à façonner notre perception de la force et de la beauté physique. Une occasion unique de plonger dans l’univers fascinant des athlètes et des culturistes à travers les yeux des artistes de l’époque.
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