Moralisation politique: le procès du Rassemblement national comme rappel

La chanson perpétuelle de la moralisation de la vie politique
          Le procès de dirigeants du Rassemblement national nous le rappelle : cela fait longtemps que la culture populaire réclame un personnel politique irréprochable.

L’affaire judiciaire impliquant des membres du parti politique Rassemblement national met en lumière un sujet récurrent dans la société : l’exigence d’une probité exemplaire de la part des dirigeants politiques. Il est clair que depuis de nombreuses années, la population réclame des représentants politiques intègres et dignes de confiance. Cette attente de transparence et de moralité au sein des instances dirigeantes est profondément ancrée dans la culture populaire.

La critique politique à travers la chanson depuis 1847

Une chanson satirique intitulée Le cabinet du 29 octobre ou en avant la corruption de Serge Kerval, enregistrée en 1992, dénonce le gouvernement corrompu, hypocrite et voleur. Cette chanson a été écrite en 1847, peu de temps après l’arrivée au pouvoir de Jean-de-Dieu Soult, président du conseil du gouvernement. Cela souligne que la France est confrontée à des problèmes politiques depuis longtemps, avec des dirigeants peu scrupuleux depuis des décennies.

Il est intéressant de noter que cette chanson a été écrite par Jules Verne, célèbre pour ses romans de science-fiction, mais également auteur d’opérettes, d’opéras-comiques et de chansons satiriques.

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Les appels à l’exemplarité dans la classe politique

Alors que Marine Le Pen et d’autres membres du Rassemblement national attendent le verdict de leur procès, Jordan Bardella appelle à l’exemplarité des candidats et des responsables politiques de son parti, ainsi que de tous les partis en général.

Dans le cadre de l’émission Ces chansons qui font l’actu, plusieurs extraits de chansons engagées ont été diffusés, dont celle de Serge Kerval. D’autres artistes comme Darcelys, Montéhus, Léo Ferré, IAM, Jean-Jacques Goldman et Gilbert Bécaud ont également été mentionnés pour leur critique de la classe politique à travers la musique.

Vous pouvez suivre l’actualité de cette chronique sur le compte Twitter de Bertrand Dicale.

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