Lors d’une intervention sur le plateau du journal télévisé de 20 heures le mardi 26 novembre, le journaliste Jean-Paul Chapel a mis en lumière les conséquences néfastes du travail de nuit sur la santé. En effet, ce rythme de travail perturbe le sommeil, ce qui peut entraîner des troubles du sommeil, de la dépression, de l’obésité et même du diabète. Chapel a souligné l’importance de prendre en considération ces risques pour les travailleurs qui sont amenés à travailler la nuit.
Travailler de nuit est une pratique difficile et néfaste pour la santé. En mars 2023, un cas de cancer du sein a été officiellement reconnu comme une maladie professionnelle chez une aide-soignante ayant travaillé de nuit à l’hôpital pendant 28 ans. Selon le journaliste Jean-Paul Chapel, le travail de nuit peut entraîner des troubles du sommeil, de la dépression, des maladies cardio-vasculaires, de l’obésité et du diabète.
15% des hommes et 7% des femmes en emploi sont concernés par les horaires de nuit, ce qui augmente également le risque d’accidents du travail. Il est possible d’accumuler des points dans un compte pénibilité en travaillant de nuit, ce qui peut permettre de partir à la retraite plus tôt.
Il est important de noter que le lien entre le travail de nuit et le cancer du sein a été étudié et des arguments en faveur de cette corrélation ont été avancés. Des études statistiques et des analyses de diverses sources, telles que l’étude Dares du 12 juin 2024, sont disponibles pour approfondir la compréhension de cette problématique.
Il est donc essentiel de prendre en compte les risques pour la santé liés au travail de nuit et de réfléchir à des mesures de prévention et de compensation pour les travailleurs concernés.