Sensibilisation

Reportage



  

    
      
    
      

  

  
    "Plus on les coupe tôt de l'objet, mieux c'est" : près de Lyon, des élèves de sixième expérimentent l'interdiction du téléphone portable
          Le principal du collège Marcel-Pagnol, à Oullins-Pierre-Bénite, espère limiter l'exposition aux écrans et lutter contre le cyberharcèlement. Conscient que la mesure ne réglera pas tout, il estime aussi que l'interdiction devra être amenée en douceur.

Les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon ont récemment été soumis à une nouvelle règle : l’interdiction d’utiliser leur téléphone portable en classe. Le principal de l’établissement, situé à Oullins-Pierre-Bénite, met en avant les dangers de l’exposition excessive aux écrans et du cyberharcèlement pour justifier cette mesure. Il est conscient que cette interdiction ne résoudra pas tous les problèmes liés à l’usage des smartphones par les jeunes, mais il estime qu’il est important de commencer à sensibiliser les élèves dès le plus jeune âge.

L’objectif de cette initiative est de limiter l’utilisation des téléphones portables pendant les heures de classe afin de favoriser la concentration des élèves et de prévenir les risques liés à une utilisation excessive des écrans. Le principal du collège Marcel-Pagnol insiste sur le fait qu’il est essentiel d’éduquer les jeunes à un usage responsable des nouvelles technologies et à limiter leur dépendance aux smartphones.

Pour mettre en place cette interdiction, le collège prévoit d’accompagner les élèves progressivement en expliquant les raisons de cette mesure et en leur proposant des alternatives pour rester connectés en dehors des cours. Le but n’est pas de priver les élèves de leur téléphone portable, mais de les sensibiliser aux dangers d’une utilisation excessive et inadaptée de cet outil.

Cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large de prévention du cyberharcèlement et de promotion d’un usage responsable des écrans. Le collège Marcel-Pagnol souhaite ainsi contribuer à la sensibilisation des élèves et de leurs parents aux risques liés à l’utilisation des nouvelles technologies.

En conclusion, l’interdiction du téléphone portable en classe pour les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon vise à limiter l’exposition des jeunes aux écrans et à prévenir le cyberharcèlement. Cette mesure s’inscrit dans une démarche de sensibilisation et d’éducation des élèves à un usage responsable des nouvelles technologies.

Le directeur de l’établissement scolaire Marcel-Pagnol de Oullins-Pierre-Bénite souhaite prendre des mesures pour réduire l’utilisation des écrans et combattre le […]

Les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon ont récemment été soumis à une nouvelle règle : l’interdiction d’utiliser leur téléphone portable en classe. Le principal de l’établissement, situé à Oullins-Pierre-Bénite, met en avant les dangers de l’exposition excessive aux écrans et du cyberharcèlement pour justifier cette mesure. Il est conscient que cette interdiction ne résoudra pas tous les problèmes liés à l’usage des smartphones par les jeunes, mais il estime qu’il est important de commencer à sensibiliser les élèves dès le plus jeune âge.

L’objectif de cette initiative est de limiter l’utilisation des téléphones portables pendant les heures de classe afin de favoriser la concentration des élèves et de prévenir les risques liés à une utilisation excessive des écrans. Le principal du collège Marcel-Pagnol insiste sur le fait qu’il est essentiel d’éduquer les jeunes à un usage responsable des nouvelles technologies et à limiter leur dépendance aux smartphones.

Pour mettre en place cette interdiction, le collège prévoit d’accompagner les élèves progressivement en expliquant les raisons de cette mesure et en leur proposant des alternatives pour rester connectés en dehors des cours. Le but n’est pas de priver les élèves de leur téléphone portable, mais de les sensibiliser aux dangers d’une utilisation excessive et inadaptée de cet outil.

Cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large de prévention du cyberharcèlement et de promotion d’un usage responsable des écrans. Le collège Marcel-Pagnol souhaite ainsi contribuer à la sensibilisation des élèves et de leurs parents aux risques liés à l’utilisation des nouvelles technologies.

En conclusion, l’interdiction du téléphone portable en classe pour les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon vise à limiter l’exposition des jeunes aux écrans et à prévenir le cyberharcèlement. Cette mesure s’inscrit dans une démarche de sensibilisation et d’éducation des élèves à un usage responsable des nouvelles technologies.
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En Haute-Savoie, le festival international de spectacles jeune public "Au bonheur des mômes" se mobilise contre le harcèlement scolaire et numérique
          Avec ses 600 représentations et 60 000 spectateurs, c'est l’un des rendez-vous incontournables de l’été pour les plus jeunes. Il se tient depuis plus de trente ans dans la petite station de ski du Grand-Bornand.

Festival « Au bonheur des mômes » en Haute-Savoie : mobilisation contre le harcèlement
Chaque été, le festival international de spectacles jeune public « Au bonheur des mômes » rassemble un public nombreux, avec ses 600 représentations et 60 000 spectateurs. Cet événement est un rendez-vous incontournable depuis plus de trente ans à Grand-Bornand, une petite station de ski en Haute-Savoie.

Cette année, en plus des spectacles et animations habituels, le festival met en avant une cause importante : la lutte contre le harcèlement scolaire et numérique. Une mobilisation est organisée pour sensibiliser les jeunes et leurs parents à cette problématique, et pour encourager la bienveillance et le respect entre les enfants.

Des ateliers, des conférences et des spectacles spécialement conçus sur ce thème seront proposés tout au long du festival. Les organisateurs ont souhaité utiliser cet événement festif comme un espace de sensibilisation et de prévention, pour que les enfants puissent s’amuser en toute sécurité et dans le respect de chacun.

En mettant en avant cette cause, le festival « Au bonheur des mômes » montre son engagement en faveur du bien-être des enfants et de leur épanouissement. Il s’agit d’une initiative forte qui montre que la culture et le divertissement peuvent aussi être des espaces d’éducation et de sensibilisation, pour construire ensemble un monde plus bienveillant et respectueux.

Chaque été, plus de 600 spectacles sont proposés aux 60 000 visiteurs qui se rendent inévitablement au rendez-vous phare de

Festival « Au bonheur des mômes » en Haute-Savoie : mobilisation contre le harcèlement
Chaque été, le festival international de spectacles jeune public « Au bonheur des mômes » rassemble un public nombreux, avec ses 600 représentations et 60 000 spectateurs. Cet événement est un rendez-vous incontournable depuis plus de trente ans à Grand-Bornand, une petite station de ski en Haute-Savoie.

Cette année, en plus des spectacles et animations habituels, le festival met en avant une cause importante : la lutte contre le harcèlement scolaire et numérique. Une mobilisation est organisée pour sensibiliser les jeunes et leurs parents à cette problématique, et pour encourager la bienveillance et le respect entre les enfants.

Des ateliers, des conférences et des spectacles spécialement conçus sur ce thème seront proposés tout au long du festival. Les organisateurs ont souhaité utiliser cet événement festif comme un espace de sensibilisation et de prévention, pour que les enfants puissent s’amuser en toute sécurité et dans le respect de chacun.

En mettant en avant cette cause, le festival « Au bonheur des mômes » montre son engagement en faveur du bien-être des enfants et de leur épanouissement. Il s’agit d’une initiative forte qui montre que la culture et le divertissement peuvent aussi être des espaces d’éducation et de sensibilisation, pour construire ensemble un monde plus bienveillant et respectueux.
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Paris 2024 : Covid-19, infections sexuellement transmissibles, dengue... On vous explique pourquoi ces maladies sont surveillées par les autorités
          Avec des millions de visiteurs attendus pendant les Jeux olympiques et paralympiques jusqu'à début septembre, les autorités sanitaires scrutent de près certaines maladies, comme le Covid-19 ou celles transmises par le moustique tigre.

Surveillance des maladies à Paris 2024 : Covid-19, infections sexuellement transmissibles et dengue en ligne de mire

Alors que les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 attirent des millions de visiteurs, les autorités sanitaires sont particulièrement vigilantes vis-à-vis de certaines maladies. En effet, le Covid-19 et les infections transmises sexuellement, ainsi que la dengue transmise par le moustique tigre, sont au centre des préoccupations.

La propagation du Covid-19 est une priorité pour les autorités, qui veillent à mettre en place des mesures sanitaires strictes pour limiter les risques de contamination. Les rassemblements de masse, tels que les Jeux olympiques, peuvent en effet favoriser la transmission du virus. C’est pourquoi des protocoles spécifiques sont mis en place pour assurer la sécurité de tous les participants et spectateurs.

Par ailleurs, les infections sexuellement transmissibles sont également surveillées de près. Avec la venue de nombreux athlètes et spectateurs du monde entier, il est important de sensibiliser sur les risques liés à ces maladies et de mettre en place des actions de prévention. La lutte contre ces infections est un enjeu majeur pour les autorités sanitaires, qui veillent à ce que des moyens de prévention et de dépistage soient accessibles à tous.

Enfin, la dengue, transmise par le moustique tigre, est une autre maladie surveillée de près. Avec le réchauffement climatique, le moustique tigre est de plus en plus présent en France, et le risque de transmission de la dengue augmente. Les autorités mettent en place des actions de lutte contre les vecteurs de la maladie, ainsi que des campagnes de sensibilisation pour prévenir sa propagation.

En conclusion, les autorités sanitaires sont mobilisées pour surveiller et prévenir la propagation de différentes maladies lors des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. La sécurité et la santé de tous les participants et spectateurs sont au cœur des préoccupations, et des mesures spécifiques sont mises en place pour limiter les risques de contamination.

Les autorités sanitaires sont particulièrement vigilantes face à l’afflux massif de visiteurs attendus pendant les Jeux olympiques et paralympiques, qui

Surveillance des maladies à Paris 2024 : Covid-19, infections sexuellement transmissibles et dengue en ligne de mire

Alors que les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024 attirent des millions de visiteurs, les autorités sanitaires sont particulièrement vigilantes vis-à-vis de certaines maladies. En effet, le Covid-19 et les infections transmises sexuellement, ainsi que la dengue transmise par le moustique tigre, sont au centre des préoccupations.

La propagation du Covid-19 est une priorité pour les autorités, qui veillent à mettre en place des mesures sanitaires strictes pour limiter les risques de contamination. Les rassemblements de masse, tels que les Jeux olympiques, peuvent en effet favoriser la transmission du virus. C’est pourquoi des protocoles spécifiques sont mis en place pour assurer la sécurité de tous les participants et spectateurs.

Par ailleurs, les infections sexuellement transmissibles sont également surveillées de près. Avec la venue de nombreux athlètes et spectateurs du monde entier, il est important de sensibiliser sur les risques liés à ces maladies et de mettre en place des actions de prévention. La lutte contre ces infections est un enjeu majeur pour les autorités sanitaires, qui veillent à ce que des moyens de prévention et de dépistage soient accessibles à tous.

Enfin, la dengue, transmise par le moustique tigre, est une autre maladie surveillée de près. Avec le réchauffement climatique, le moustique tigre est de plus en plus présent en France, et le risque de transmission de la dengue augmente. Les autorités mettent en place des actions de lutte contre les vecteurs de la maladie, ainsi que des campagnes de sensibilisation pour prévenir sa propagation.

En conclusion, les autorités sanitaires sont mobilisées pour surveiller et prévenir la propagation de différentes maladies lors des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024. La sécurité et la santé de tous les participants et spectateurs sont au cœur des préoccupations, et des mesures spécifiques sont mises en place pour limiter les risques de contamination.
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Éducation : sensibiliser les plus jeunes au harcèlement scolaire
          Dans cinq établissements scolaires de Dax (Landes), des ateliers sont organisés tout au long de l’année. La priorité est placée sur les réseaux sociaux.

Sensibilisation des jeunes au harcèlement scolaire à Dax : ateliers dans 5 établissements avec focus sur réseaux sociaux.

Des ateliers sont mis en place dans cinq établissements scolaires de Dax, dans le département des Landes. Ces ateliers se

Sensibilisation des jeunes au harcèlement scolaire à Dax : ateliers dans 5 établissements avec focus sur réseaux sociaux. Lire la suite »

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