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Chantier de l'A69 : deux opposants hospitalisés après être tombés d'un arbre lors d'une opération d'évacuation de la gendarmerie
          Selon les manifestants, les deux "écureuils" ont fait une chute "de plus de 7 mètres" de haut.

Deux opposants blessés lors d’une opération d’évacuation sur le chantier de l’A69

Deux opposants se retrouvent à l’hôpital après être tombés d’un arbre lors d’une opération d’évacuation menée par la gendarmerie sur le chantier de l’A69. Selon les manifestants présents sur place, les deux individus, surnommés les « écureuils », auraient chuté de plus de 7 mètres de hauteur.

La situation a rapidement dégénéré sur le chantier de l’A69, où des militants protestaient contre la construction de cette autoroute. La gendarmerie a dû intervenir pour évacuer les opposants qui occupaient les lieux de manière illégale. C’est lors de cette opération que les deux individus ont chuté de l’arbre.

Les secours ont été immédiatement appelés sur les lieux et les deux blessés ont été transportés à l’hôpital pour y recevoir les soins nécessaires. Leur état de santé reste préoccupant, mais aucune information supplémentaire n’a été communiquée pour le moment.

Les manifestants sur place dénoncent une intervention musclée de la part des forces de l’ordre, mettant en cause la violence de l’évacuation. Des témoins affirment que les gendarmes ont fait preuve d’une grande brutalité lors de l’intervention, ce qui aurait entraîné la chute des deux opposants.

L’association de défense de l’environnement qui lutte contre la construction de l’A69 a immédiatement réagi à cet incident, dénonçant une répression excessive de la part des autorités. Elle appelle à une enquête approfondie pour faire toute la lumière sur les circonstances de cet accident et sur la responsabilité des forces de l’ordre dans cette affaire.

D’après les protestataires, les deux individus surnommés « écureuils » ont chuté d’une hauteur dépassant les 7 mètres. Deux opposants au chantier […]

Deux opposants blessés lors d’une opération d’évacuation sur le chantier de l’A69

Deux opposants se retrouvent à l’hôpital après être tombés d’un arbre lors d’une opération d’évacuation menée par la gendarmerie sur le chantier de l’A69. Selon les manifestants présents sur place, les deux individus, surnommés les « écureuils », auraient chuté de plus de 7 mètres de hauteur.

La situation a rapidement dégénéré sur le chantier de l’A69, où des militants protestaient contre la construction de cette autoroute. La gendarmerie a dû intervenir pour évacuer les opposants qui occupaient les lieux de manière illégale. C’est lors de cette opération que les deux individus ont chuté de l’arbre.

Les secours ont été immédiatement appelés sur les lieux et les deux blessés ont été transportés à l’hôpital pour y recevoir les soins nécessaires. Leur état de santé reste préoccupant, mais aucune information supplémentaire n’a été communiquée pour le moment.

Les manifestants sur place dénoncent une intervention musclée de la part des forces de l’ordre, mettant en cause la violence de l’évacuation. Des témoins affirment que les gendarmes ont fait preuve d’une grande brutalité lors de l’intervention, ce qui aurait entraîné la chute des deux opposants.

L’association de défense de l’environnement qui lutte contre la construction de l’A69 a immédiatement réagi à cet incident, dénonçant une répression excessive de la part des autorités. Elle appelle à une enquête approfondie pour faire toute la lumière sur les circonstances de cet accident et sur la responsabilité des forces de l’ordre dans cette affaire.
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Reportage



  

    
      
    
      

  

  
    "Plus on les coupe tôt de l'objet, mieux c'est" : près de Lyon, des élèves de sixième expérimentent l'interdiction du téléphone portable
          Le principal du collège Marcel-Pagnol, à Oullins-Pierre-Bénite, espère limiter l'exposition aux écrans et lutter contre le cyberharcèlement. Conscient que la mesure ne réglera pas tout, il estime aussi que l'interdiction devra être amenée en douceur.

Les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon ont récemment été soumis à une nouvelle règle : l’interdiction d’utiliser leur téléphone portable en classe. Le principal de l’établissement, situé à Oullins-Pierre-Bénite, met en avant les dangers de l’exposition excessive aux écrans et du cyberharcèlement pour justifier cette mesure. Il est conscient que cette interdiction ne résoudra pas tous les problèmes liés à l’usage des smartphones par les jeunes, mais il estime qu’il est important de commencer à sensibiliser les élèves dès le plus jeune âge.

L’objectif de cette initiative est de limiter l’utilisation des téléphones portables pendant les heures de classe afin de favoriser la concentration des élèves et de prévenir les risques liés à une utilisation excessive des écrans. Le principal du collège Marcel-Pagnol insiste sur le fait qu’il est essentiel d’éduquer les jeunes à un usage responsable des nouvelles technologies et à limiter leur dépendance aux smartphones.

Pour mettre en place cette interdiction, le collège prévoit d’accompagner les élèves progressivement en expliquant les raisons de cette mesure et en leur proposant des alternatives pour rester connectés en dehors des cours. Le but n’est pas de priver les élèves de leur téléphone portable, mais de les sensibiliser aux dangers d’une utilisation excessive et inadaptée de cet outil.

Cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large de prévention du cyberharcèlement et de promotion d’un usage responsable des écrans. Le collège Marcel-Pagnol souhaite ainsi contribuer à la sensibilisation des élèves et de leurs parents aux risques liés à l’utilisation des nouvelles technologies.

En conclusion, l’interdiction du téléphone portable en classe pour les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon vise à limiter l’exposition des jeunes aux écrans et à prévenir le cyberharcèlement. Cette mesure s’inscrit dans une démarche de sensibilisation et d’éducation des élèves à un usage responsable des nouvelles technologies.

Le directeur de l’établissement scolaire Marcel-Pagnol de Oullins-Pierre-Bénite souhaite prendre des mesures pour réduire l’utilisation des écrans et combattre le

Les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon ont récemment été soumis à une nouvelle règle : l’interdiction d’utiliser leur téléphone portable en classe. Le principal de l’établissement, situé à Oullins-Pierre-Bénite, met en avant les dangers de l’exposition excessive aux écrans et du cyberharcèlement pour justifier cette mesure. Il est conscient que cette interdiction ne résoudra pas tous les problèmes liés à l’usage des smartphones par les jeunes, mais il estime qu’il est important de commencer à sensibiliser les élèves dès le plus jeune âge.

L’objectif de cette initiative est de limiter l’utilisation des téléphones portables pendant les heures de classe afin de favoriser la concentration des élèves et de prévenir les risques liés à une utilisation excessive des écrans. Le principal du collège Marcel-Pagnol insiste sur le fait qu’il est essentiel d’éduquer les jeunes à un usage responsable des nouvelles technologies et à limiter leur dépendance aux smartphones.

Pour mettre en place cette interdiction, le collège prévoit d’accompagner les élèves progressivement en expliquant les raisons de cette mesure et en leur proposant des alternatives pour rester connectés en dehors des cours. Le but n’est pas de priver les élèves de leur téléphone portable, mais de les sensibiliser aux dangers d’une utilisation excessive et inadaptée de cet outil.

Cette initiative s’inscrit dans une démarche plus large de prévention du cyberharcèlement et de promotion d’un usage responsable des écrans. Le collège Marcel-Pagnol souhaite ainsi contribuer à la sensibilisation des élèves et de leurs parents aux risques liés à l’utilisation des nouvelles technologies.

En conclusion, l’interdiction du téléphone portable en classe pour les élèves de sixième du collège Marcel-Pagnol près de Lyon vise à limiter l’exposition des jeunes aux écrans et à prévenir le cyberharcèlement. Cette mesure s’inscrit dans une démarche de sensibilisation et d’éducation des élèves à un usage responsable des nouvelles technologies.
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Inégalités salariales : "Certaines rémunérations" de PDG du CAC 40 "dépassent l'entendement", déplore Oxfam
          Entre "2019 et 2022 les rémunérations des salariés du CAC 40 ont augmenté de 9%" tandis que "celles des PDG,  de 27%", fustige mardi Léa Guérin, chargée de plaidoyer chez Oxfam France.

Les PDG du CAC 40 voient leurs rémunérations augmenter de manière excessive, selon Oxfam
Les salaires des salariés du CAC 40 ont augmenté de 9% entre 2019 et 2022, tandis que les PDG ont bénéficié d’une augmentation de 27%, dénonce Oxfam France.

Selon Léa Guérin, chargée de plaidoyer chez Oxfam France, les salariés du CAC 40 ont vu leurs rémunérations augmenter de

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