Maire PS de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, atteint cancer vessie, suit immunothérapie

Le maire PS de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, annonce être atteint d'un cancer de la vessie
          L'élu doit faire dans quelques jours un troisième cycle d'immunothérapie.

Dans quelques jours, le patient devra suivre un troisième traitement d’immunothérapie.

Le maire de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, annonce être atteint d’un cancer de la vessie

Le maire (PS) de Rouen, Nicolas Mayer-Rossignol, a révélé lors d’une conférence de presse le mercredi 13 novembre qu’il était atteint d’un cancer de la vessie, comme l’a rapporté France Bleu Normandie. En plus de ses fonctions de maire, il est également président de la métropole Rouen Normandie. Sa maladie a été diagnostiquée avec une première tumeur en début d’année 2022. Après une opération en février, il a suivi un traitement d’immunothérapie pendant plusieurs mois. Cependant, une nouvelle opération a été nécessaire en avril 2023 en raison d’une récidive de plusieurs tumeurs, comme l’a expliqué France Bleu Normandie.

Un combat contre la maladie

Malgré une série de séances d’immunothérapie supplémentaires, une seconde récidive s’est produite, entraînant une troisième opération en juin 2024. Prochainement, Nicolas Mayer-Rossignol entamera un troisième cycle d’immunothérapie, tout en se déclarant en bonne santé. Il a affirmé qu’il n’avait pas l’intention de démissionner de ses fonctions électives, soulignant qu’il était suivi par une équipe médicale compétente et bienveillante au service d’urologie du CHU de Rouen.

À LIRE  Interpellation collégien banlieue Dijon : maire Chenôve salue courage personnels.

Un engagement renforcé

Malgré la maladie, le maire de Rouen a souligné son engagement et sa détermination. Il a également mis en avant la nécessité de parler ouvertement de la maladie, la considérant comme un sujet tabou qui mérite plus d’attention. Nicolas Mayer-Rossignol a également annoncé la mise en place d’un plan pour les agents de la métropole touchés par le cancer, dans le cadre de l’opération de sensibilisation aux cancers masculins Movember. Il a souligné que le taux de prévalence de ce cancer était cinq fois plus élevé en Seine-Maritime que dans le reste de la France, attribuant cette différence à des facteurs environnementaux plutôt qu’à des causes génétiques.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut