Chant : équivalent français de « son of a bitch » après Biden et Poutine

Comment chante-t-on "son of a bitch" en français ?
          Après l'injure qu'aurait proférée le président américain Joe Biden à l'encontre de Vladimir Poutine, revenons sur la manière dont la chanson manipule l'équivalent français de ces mots-là...

Suite à l’insulte supposée du président américain Joe Biden envers Vladimir Poutine, intéressons-nous à la façon dont la chanson utilise les équivalents français de ces termes pour influencer l’opinion publique.

La présence de l’insulte américaine dans la chanson française

Une des principales occurrences de l’insulte américaine « son of a bitch » dans la chanson française est le jeu de mots de Serge Gainsbourg en 1984, « Harley David Son of a Bitch ».

Cette semaine, le président américain, Joe Biden, a qualifié son homologue russe, Vladimir Poutine, de « crazy son of a bitch » – un fils de pute cinglé. Et, en anglais, c’est aussi insultant qu’en français, fils de pute ou enfant de putain.

Les chansons évoquant des termes similaires

Dans le second épisode de « Ces chansons qui font l’actu » diffusé ce week-end, vous pouvez entendre des extraits de différentes chansons, telles que :

– Serge Gainsbourg, « Harley David of a Bitch », 1984

– Brigitte Fontaine, « Cul béni », 2006

À LIRE  Valentina Petrillo, première athlète transgenre aux Paralympiques, éprouve des difficultés à être acceptée pour Paris 2024Valentina Petrillo, une athlète italienne transgenre, a réalisé son rêve de participer aux Jeux Paralympiques. Cependant, elle doit faire face à des défis et à une certaine résistance de la part de certains acteurs du monde du sport. Heureusement, elle peut compter sur le soutien de l'ASD Omero Bergamo, le club où elle s'entraîne, pour faire face à la tempête médiatique et aux préjugés.L'acceptation de Valentina Petrillo en tant que première athlète transgenre aux Paralympiques est un enjeu majeur pour les jeux de Paris 2024. Elle incarne la diversité et la lutte contre la discrimination dans le sport. Son parcours inspirant et sa détermination à vivre pleinement sa passion malgré les obstacles font d'elle un modèle pour de nombreux autres athlètes.L'ASD Omero Bergamo, en tant que club support de Valentina, se mobilise pour la soutenir et l'accompagner dans son parcours. L'association fait face à la pression médiatique et aux commentaires négatifs, mais reste fidèle à ses valeurs d'inclusion et de respect de la diversité. Ensemble, ils défient les préjugés et ouvrent la voie à une plus grande acceptation de la transidentité dans le monde du sport.En dépit des obstacles et des critiques, Valentina Petrillo reste déterminée à vivre pleinement son rêve paralympique. Sa force et sa résilience sont admirables, et elle espère que son parcours inspirera d'autres personnes à être fières de qui elles sont et à poursuivre leurs objectifs, quelles que soient les difficultés rencontrées en chemin.

– Berry, « Enfant de salaud », 2008

– Bérurier Noir, « Fils de », 1985

– Jacques Brel, « La Statue », 1962

– Renaud, « Mon nain de jardin », 2002

– Jean Ferrat, « Pauvres petits c… », 1967

– Georges Brassens, « La Complainte des filles de joie », 1961

– Soldat Louis, « Bohémiens », 1990

– Pierre Perret, « Le Temps des puces », 1971

– Saez, « Humanité », 2018

– Volo, « L’Interprétation », 2007

– Serge Gainsbourg, « Harley David of a Bitch », 1984

Vous pouvez également suivre l’actualité de cette chronique sur Twitter. Et vous pouvez aussi retrouver sur ce lien le podcast « Derrière nos voix », avec les secrets d’écriture et de composition de huit artistes majeurs de la scène française, tels que Laurent Voulzy, Julien Clerc, Bénabar, Dominique A, Carla Bruni, Emily Loizeau, Juliette et Gaëtan Roussel.

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